corbulon a écrit:Et bien en 34 et 38, on avait déjà pratiquement toutes les meilleures équipes (notamment la Wunderteam autrichienne), et la seule différence par-rapport à plus tard c’est qu’on entrait tout de suite dans le vif du sujet avec des matchs à élimination directe. Chose inexistante en 1950 par exemple ou quasi-inexistante comme en 1978.
Et dernier petit détail, en 1934 la Squadra a disputé 4 matchs en 12 jours (dont 2 avec prolongations) pour pouvoir remporter le titre.
arpagon a écrit:corbulon a écrit:Et bien en 34 et 38, on avait déjà pratiquement toutes les meilleures équipes (notamment la Wunderteam autrichienne), et la seule différence par-rapport à plus tard c’est qu’on entrait tout de suite dans le vif du sujet avec des matchs à élimination directe. Chose inexistante en 1950 par exemple ou quasi-inexistante comme en 1978.
Et dernier petit détail, en 1934 la Squadra a disputé 4 matchs en 12 jours (dont 2 avec prolongations) pour pouvoir remporter le titre.
y avait surtout Mussolini! ça vous a bien aidé....
Giuseppe a écrit:arpagon a écrit:corbulon a écrit:Et bien en 34 et 38, on avait déjà pratiquement toutes les meilleures équipes (notamment la Wunderteam autrichienne), et la seule différence par-rapport à plus tard c’est qu’on entrait tout de suite dans le vif du sujet avec des matchs à élimination directe. Chose inexistante en 1950 par exemple ou quasi-inexistante comme en 1978.
Et dernier petit détail, en 1934 la Squadra a disputé 4 matchs en 12 jours (dont 2 avec prolongations) pour pouvoir remporter le titre.
y avait surtout Mussolini! ça vous a bien aidé....
Y avait Hitler et ça ne les a pas aidés...
arpagon a écrit:juste un tout petit extrait tiré de cet article
https://www.geo.fr/histoire/coupe-du-mo ... rir-209367
"A lui seul, le défenseur Monti envoie quatre joueurs ibériques à l’hôpital. Devant l'hystérie des tifosi, les supporters italiens, l'arbitre suisse n’intervient pas et donne la victoire à l’Italie après un but irrégulier. Pendant l’action offensive, le gardien espagnol est plaqué au sol par un attaquant ! Bis repetita deux jours plus tard, lors de la demi-finale, à Milan, face à l’Autriche. Après avoir blessé les attaquants autrichiens, les Italiens bénéficient de « l’aide » de l’arbitre suédois, Ivan Eklind. « C’était incroyable. En cours de jeu, il passait le ballon à notre adversaire. Et le but italien fut accordé malgré une faute évidente », a raconté, dans une interview accordée à la BBC en 1998, l’attaquant autrichien Josef Bican. Jugé digne de confiance par Mussolini, l’arbitre suédois est désigné pour arbitrer la finale à Rome…"
Face aux nombreuses réactions, Emiliano Martinez a justifié les raisons de son geste au micro de la radio argentine La Red. Le gardien a expliqué en avoir après les supporters de l'équipe de France : "Je l’ai fait parce que les Français m’ont hué. L’arrogance ne fonctionne pas avec moi", raconte l'Argentin, avant de révéler son état d'esprit lors de la séance de tirs au but : "Ils ont eu ce penalty (à 3-3) et après, tout ce dont j’avais rêvé s’est réalisé. Je n'ai pas de mots pour ça. J'étais tranquille pendant la séance des tirs au but, et tout s'est déroulé comme on le souhaitait." Après la rencontre, Emiliano Martinez s'est également distingué lors de diverses célébrations avec son équipe dans le vestiaire. Alors que les joueurs argentins chantaient en chenille pour célébrer leur sacre, le gardien de but a demandé une minute de silence pour Kylian Mbappé.
Ivanovitch76 a écrit:Le Tapir a écrit:Brian Addav a écrit:on a les joueurs pour faire le jeu ?
qui ?
on s'est pointé sans Pogba, Kanté, Benzema...
Oui, quand on voit ce qu'on arrive à faire malgré les blessés, je me dis que c'est dommage! Pogba aurait plus fait autorité hier soir! Enfin bon, il ne faut pas refaire le match avec des "si"!
Rien ne dit que vous auriez aussi atteint la finale avec ces 3 là sur le terrain.
zanzibar a écrit:Ivanovitch76 a écrit:Le Tapir a écrit:Brian Addav a écrit:on a les joueurs pour faire le jeu ?
qui ?
on s'est pointé sans Pogba, Kanté, Benzema...
Oui, quand on voit ce qu'on arrive à faire malgré les blessés, je me dis que c'est dommage! Pogba aurait plus fait autorité hier soir! Enfin bon, il ne faut pas refaire le match avec des "si"!
Rien ne dit que vous auriez aussi atteint la finale avec ces 3 là sur le terrain.
entre le marabout, et le zinzolin au ballon dort du peuple, nous étions refait. finalement leurs blessures sont bien tombés.
le melon de la Paztek a pu tirer toute la lumière comme un gros cochon qu'il est.
Merci au Japon pour les émotions et pour ce maillot splendide.
Merci à l'Espagne d'avoir marqué tous ses buts en un seul match ; envoyer la sauce trop vite, on a tous connu ça.
Merci à Hervé Renard pour la chemise impeccable et le sourire Colgate.
Merci à l'Allemagne pour Musiala, c'est peu mais c'est déjà beaucoup.
Merci aux Etat-Unis, mais ce sera toujours du football et non du soccer.
Merci au Brésil de nous faire le même sketch tous les quatre ans, c'est toujours aussi drôle.
Merci à l'Angleterre pour les mêmes raison : it's not coming home.
Pas merci au Qatar pour la clim.
Merci au Maroc d'avoir fait la fierté de l'Afrique.
Merci à la Croatie pour son milieu de terrain, qui vaut presque une étoile à lui tout seul.
Merci à l'Argenti... non désolé, c'est encore trop tôt.
noise a écrit:Manque la Belgique tiens
zanzibar a écrit:entre le marabout, et le zinzolin au ballon dort du peuple, nous étions refait. finalement leurs blessures sont bien tombés.
le melon de la Paztek a pu tirer toute la lumière comme un gros cochon qu'il est.
arpagon a écrit:juste un tout petit extrait tiré de cet article
https://www.geo.fr/histoire/coupe-du-mo ... rir-209367
"A lui seul, le défenseur Monti envoie quatre joueurs ibériques à l’hôpital. Devant l'hystérie des tifosi, les supporters italiens, l'arbitre suisse n’intervient pas et donne la victoire à l’Italie après un but irrégulier. Pendant l’action offensive, le gardien espagnol est plaqué au sol par un attaquant ! Bis repetita deux jours plus tard, lors de la demi-finale, à Milan, face à l’Autriche. Après avoir blessé les attaquants autrichiens, les Italiens bénéficient de « l’aide » de l’arbitre suédois, Ivan Eklind. « C’était incroyable. En cours de jeu, il passait le ballon à notre adversaire. Et le but italien fut accordé malgré une faute évidente », a raconté, dans une interview accordée à la BBC en 1998, l’attaquant autrichien Josef Bican. Jugé digne de confiance par Mussolini, l’arbitre suédois est désigné pour arbitrer la finale à Rome…"
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