dod a écrit:
Indigne de toi ça ce n'est pas ce que j'ai voulu dire et tu le sais très bien
Putain je vais m'arrêter là, tu as réussi à me gonfler alors que tu sais bien que je t'apprécie.

dod a écrit:
Indigne de toi ça ce n'est pas ce que j'ai voulu dire et tu le sais très bien
"Il le bourgmestre) a été très dur avec une délinquance qui existait là, mais a aussi mis en place une police de proximité qui est beaucoup plus humaine. On se rend compte que ça fonctionne."
"Ce que les gens demandent, c’est du respect, tout simplement."
Sysy77 a écrit:Le réflexe de fuite est celui qui fera prendre des risques aux auteurs de refus d'obtempérer en voiture par exemple.
Thierry_2 a écrit:mais il y a quand même des éléments qui interpellent: sur les 3000 signalements par an, le taux de classement sans suite au comité P est de 90 à 95%
marvin le rouge a écrit:Ce sont les citoyens lambda qui ont peur de la police (manifestants, journalistes, gens sans problèmes au quotidien, toi, moi, etc...) pas les délinquants.
Arme de poing sortie, utilisation de gaz lacrymogène en intérieur et propos déplacés. C’est la réponse apportée par des policiers parisiens à la cinquantaine de lycéens qui avaient tenté, en juin 2024, d’occuper des salles de classe du lycée Hélène-Boucher, dans le 20e arrondissement de Paris, pour sensibiliser à la situation en Palestine.
Le Monde a pu consulter des vidéos et des photos de l’opération, jusque-là stockées dans les téléphones de lycéens placés sous scellés. Ces images interrogent sur la proportionnalité de la réponse apportée par l’administration et les autorités à cette action, menée presque exclusivement par des mineurs. Et illustrent la fermeté croissante de la réplique aux mobilisations lycéennes à Paris depuis quelques années, ainsi que la difficulté pour l’éducation nationale de gérer la politisation des lycéens.
Bolt a écrit:Vous reprendrez bien alors un peu de police française ?
Face à l’occupation d’un lycée par des élèves pro-Gaza, les méthodes musclées de la police interrogentArme de poing sortie, utilisation de gaz lacrymogène en intérieur et propos déplacés. C’est la réponse apportée par des policiers parisiens à la cinquantaine de lycéens qui avaient tenté, en juin 2024, d’occuper des salles de classe du lycée Hélène-Boucher, dans le 20e arrondissement de Paris, pour sensibiliser à la situation en Palestine.
Le Monde a pu consulter des vidéos et des photos de l’opération, jusque-là stockées dans les téléphones de lycéens placés sous scellés. Ces images interrogent sur la proportionnalité de la réponse apportée par l’administration et les autorités à cette action, menée presque exclusivement par des mineurs. Et illustrent la fermeté croissante de la réplique aux mobilisations lycéennes à Paris depuis quelques années, ainsi que la difficulté pour l’éducation nationale de gérer la politisation des lycéens.
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