kantessekonmange a écrit:bon, voilà ça c'est passé à un des premiers festivals où je me rendais...
Je m'adresse à un auteur et je lui dis :
"Bonjour, j'ai adoré vote série ****** (je ne me rappelle plus quelle série j'ai cité) !"
L'auteur :
"C'est gentil ! Mais moi c'est Jean-Yves Ferri et cette série n'est pas de moi !"
Alors, je suis pas champion du monde, là ????
kantessekonmange a écrit:
"Bonjour, j'ai adoré votre série Ian Kalédine !"
L'auteur :
"C'est gentil ! Mais moi c'est Jean-Yves Ferri et cette série n'est pas de moi !"
kantessekonmange a écrit:
"Bonjour Monsieur le Ministre, j'ai adoré votre collection La sagesse des myhtes"
L'auteur :
"C'est gentil ! Mais moi c'est Jean-Yves Ferri et cette série n'est pas de moi !"
crepp a écrit:C'était il y a longtemps.
J'étais surveillant dans un collège. On préparait la rentrée scolaire.
C'était la journée de distribution des cartes de bus. Il y avait une longue queue, j'avais la tête dans les papiers, je disais bonjour, je demandais le nom, je donnais la carte, au revoir, et hop au suivant, tout cela en levant la tête rarement.
Quelqu'un me donne donc son nom, je tends la carte, et la ben on ne la prend pas, j'attends quelques secondes, je dis vous pouvez prendre la carte, j'attends encore quelques secondes , et je lève la tête. Je vois une maman, qui me regarde, et qui lève ses épaules, en s'excusant. Elle n'avait pas de bras.
Depuis je regarde toujours à qui je parle.
euh... si vous le dites a écrit:crepp a écrit:C'était il y a longtemps.
J'étais surveillant dans un collège. On préparait la rentrée scolaire.
C'était la journée de distribution des cartes de bus. Il y avait une longue queue, j'avais la tête dans les papiers, je disais bonjour, je demandais le nom, je donnais la carte, au revoir, et hop au suivant, tout cela en levant la tête rarement.
Quelqu'un me donne donc son nom, je tends la carte, et la ben on ne la prend pas, j'attends quelques secondes, je dis vous pouvez prendre la carte, j'attends encore quelques secondes , et je lève la tête. Je vois une maman, qui me regarde, et qui lève ses épaules, en s'excusant. Elle n'avait pas de bras.
Depuis je regarde toujours à qui je parle.
Dans le même style, ma tante quand elle était en stage d'infirmière dans un hôpital a dit à un patient qu'il serait bientôt sur pied alors qu'on venait de l'amputer des deux jambes.
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