PHILGUZZ a écrit:Moi je ne les lis pas et j'ai toujours ma paire de gants de chirurgien quand je vais faire mes achats (comme ça pas de trace), ainsi qu'une petite loupe (comme ça pas de trace), parceque je ne peux pas transporter la binoculaire que j'ai à la maison, elle est trop lourde !
PHILGUZZ a écrit:Et si jamais je repère une trace en rentrant à la maison, je la rapporte et j'en choisi une autre!
aldo a écrit:
VIVE LA COLLECTION D'EO
LEAUTAUD a écrit: Et je ne suis pas encore résolu à franchir le pas pour me débarrasser d'une partie de ma collection , comme a réussi à le faire Fred.
Est-ce parce que la quasi totalité de mes albums sont des EO ? Non , la raison est ailleurs.
royrob69 a écrit:un gros non parceque j'en ai strictement rien a foutre, j'achete quasiment que de la nouveaute donc par le fait j'ai pas mal d'EO, mais si je me lance dans une serie plus ancienne, les reeditions me vont tres bien
facsimile a écrit:Dans mon abri anti-humidito-fungo-xylophago-atomique, je conserve jalousement mes quelques éditions originales, collection fruit de la passion tous-azimut de mon père, malgré des finances réduites à l'époque. Le tout EO, oui, mais à quoi bon? Je circule dans ce petit réduit tapissé d'étagères jusqu'au plafond, pour y puiser tantôt une oeuvre de Tillieux en EO ou en réédition brochée de même allure, en passant par Mandryka et autre Druillet trop tardivement réédités ceux là. Un véritable florilège de couleurs d'origine, d'odeurs évocatrices d'un passé choyé, m'emplissent, celles d'une époque bénie qui s'étend de la fin des années 50 aux milieu des années 80. Pourtant, avec mon humble quarantaine, je n'ai pas eu l'occasion de tenir, enfant, dans mes mains le 54è recueil du journal de Spirou. J'éprouve pourtant d'extraordinaires et indescriptibles sensations, proches de celles d'un archéologue au seuil d'une découverte inouïe (ces mêmes chercheurs qui étudieront d'ici cinquante ans probablement ce patrimoine unique, témoin au même titre que l'architecture, de son époque)
Quant à compléter fastidieusement cette collection, je suis certes plus attiré par les EO, mais je privilégie tout se qui s'en approche (une réédition à quelques mois ou années près, au cours des années 60 et 70, conservera souvent les mêmes caractéristiques et qualités, le même pouvoir d'évocation)
Aussi une EO Dupuis vaudra-t-elle à la cote référente, entre cinq et dix rééditions dos rond, beaucoup moins onéreuses, permettant à la majorité d'entre nous de se constituer une collection dite « homogène » et de belle teneur. Ce principe est plus difficilement applicable pour les productions postérieures à 1980, exceptées celles des humanoïdes associés, ou il y a peu de différence d'aspect entre EO et réédition.
Finalement, j'ai l'impression de ne posséder que des EO alors que celles ci doivent ne représenter qu'à peine 40% du total. Selon moi, ce qui compte, c'est les saveurs du millésime que l'on déguste qui importent.
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