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Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Ciné-Club 59 = "Cybèle ou les dimanches de Ville d'Avray"

Messagede Olaf Le Bou » 25/03/2021 00:21

Message précédent :
Olaf Le Bou a écrit:Mais bien évidemment, ce qui frappe et illumine le film c'est la composition de la jeune héroïne, son jeu est absolument extraordinaire de fraicheur et de vérité et j'ai du mal à trouver un autre acteur-enfant pouvant rivaliser avec cette performance.


bon bin j'ai trouvé, le gamin de Capharnaüm, le film libanais de 2018, il est confondant de naturel et de justesse.
(tous les gamins du film d'ailleurs, même le bambin de 18 mois est excellent, elle a un don pour filmer les gosses cette réalisatrice, c'est pas possible de tomber sur autant de talents enfantins d'un coup)

grosse claque en tous cas pour moi ce film, je suis enthousiaste.
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux

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Re: Ciné-Club BDGest séance 61 : films pré-code Hays

Messagede jolan » 30/03/2021 17:56

euh... si vous le dites a écrit:Ok.
Je mettrai des liens demain.


[:fantaroux:2]

Bon, je mate le film ce soir, y a pas de Tavernier ;)
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede makidoo » 30/03/2021 19:48

Vu aujourd’hui
Un gros bof pour ma part, je rédigerai un avis plus tard ;)
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede sergent latrique » 30/03/2021 20:53

Red headed woman 1932 (Jack Conway)

Les femmes sont de petites choses fragiles, s'il faut le croire alors Lilian n'est pas une femme, mais une femme fatale, ce qui fait toute la différence.
Cette jeune arriviste, vénale, intéressée par le train de vie de ses conquêtes et leurs portefeuilles est prête à tout pour séduire son patron, marié mais sensible au charme d'une jeune et fraîche jeune femme.
Dans ce début des années 30, elle est l'image au XX° siècle des cocottes et des grandes horizontales à l'assaut des chevaliers d'industrie et des anciens nobles qui défrayaient les chroniques mondaines dans les journaux. Elle ne fait pas dans la finesse et la subtilité, c'est du rentre-dedans à tous les coins.

Ce film coche tous les aspects de la vie corrompue et du politiquement incorrect, le code Hays n'étant pas encore appliqué.
En tout premier l'érotisme, omniprésent et dans lequel Jean Harlow excelle, ainsi que ses petites camarades: relevé de jupe sur des bas et des jarretières, tissus fluides et transparent qui font pointer les tétons, décolleté plongeant, dos nus, oeillades et bouches en coeur.
Les femmes et Lilian en particulier font tout pour aguicher le client, et le réalisateur loin de les dépeindre comme des manoeuvres sordides, semble plutôt appuyer le propos, se faisant complice pour plaire au spectateur, On notera cette image reprises dans les scènes marquantes des films Precode d'une Lilian giflée qui sourit et en redemande parce que c'est bon. Improbable dans le climat actuel pourtant pétri de violence et de sexe.
Bill, le malheureux patron est certainement meilleur en affaires qu'en affaires amoureuses tellement il se fait piéger comme un godelureau par sa succube jusqu'a divorcer d'une femme aimante et compréhensive, Irène, que personnellement je trouve plus séduisante que Lilian.
Rien n'arrêtera Lilian dans sa marche vers les hautes sphères, après Bill, c'est le magnat Gaerste, le contraire d'un jeune Ephèbe, qui devient sa nouvelle proie. Comme dans tous les classiques, le vieux beau est doublé par l'amant de coeur, le chauffeur Albert, joué par Charles Boyer.

Le film pourrait se terminer tragiquement, sa morale est plutôt amère et cynique, Lilian continue de plumer les riches messieurs (de plus en plus vieux et décatis mais de plus en plus riches) et garde son chauffeur.

Ce film a un aspect intéressant par cette liberté de ton de la période pré-code qui autorise l'érotisme, les transgressions à la morale (ou la violence dans d'autres films de la même époque), liberté qui va disparaitre pendant plus de 30 ans
des plateaux d'Hollywood et qui vont laisser place au puratisme, à la morale de l'époque (remise en cause aujourd'hui) et une tradition de "happy end".
Le code Hays n'existe plus, mais curieusement, certaines scènes de cette époque peuvent encore aujourd'hui heurter certains de nos contemporains à la sensibilité exacerbée

Le code hays incitera les réalisateurs à faire preuve d'imagination, en utilisant des symboles, des images subliminales ou des procédés plus subtils, preuve en est avec un film comme Gilda ou Rita Hayworth en se dégantant suscite autant le désir des hommes que Jean Harlow qui relève ses jupes. Un mal pour un bien en quelque sorte.

Jean Harlow, dont l'image de sex-symbol est encore actuelle, fait partie du club des 26, mais ce n'est pas la femme fatale qui me viendrait en premier à l'esprit, elle a un côté tapageur, cagole, assez insupportable.

Ma note 3/6
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 30/03/2021 22:33

Harlow, dans le genre tapageur vulgaire qui s'assume, elle a encore fait beaucoup mieux dans Red dust avec Clark Gable mais elle n'arrive pas à la cheville de Mae West, qui, elle, porte la vulgarité avec une classe dingue.

Bon sinon, ce Red-headed woman n'est évidemment pas un grand film.
Ceci dit, son amoralité jusque dans son final le distingue par rapport à la majorité des autres films qui ont entraîné l'adoption du code Hays et qui bien souvent atténuaient leurs turpitudes par un retour final aux convenances.
C'est là que réside son principal intérêt.
Après, j'aime bien cette vulgarité assumée, aux antipodes du chef d'oeuvre pre-code Trouble in paradise de Lubitsch sorti la même année, qui est évidemment beaucoup plus subtil dans l'amoralité. Red-headed woman, en fait, c'est un peu du Lubitsch en version punk à chiens.
C'est vraiment le genre de films qu'on ne peut trouver que durant cette très courte période qui va de la fin du muet à l'instauration du code Hays et, rien que pour ça, même quand ils sont poussifs, j'ai tendance à bien les aimer.

Ma note : 3/6
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede jolan » 31/03/2021 02:11

Red-Headed Woman – Jack CONWAY – 1932

Insupportable.
Je n'ai jamais apprécié Jean Harlow, que je ne trouve ni belle ni charmante - mais au contraire laide et repoussante - ni bonne comédienne. L'actrice qui joue sa femme Irene lui est bien supérieure, limite sublime (je vais plutôt creuser par là)
Et comme pour moi le cinéma comme dans la vie ce sont avant tout les femmes, j'ai beaucoup de mal à apprécier un film dont je n'apprécie pas l'interprète principale. Surtout si le rôle ne lui convient pas, comme ici. Car le scénario semble en faire la femme la plus belle du monde, qui séduit tous les hommes. Or pour moi ça ne fonctionne pas une seconde. Et quand bien même elle serait belle, ça ne suffirait pas. Elle est pourrie de l'intérieur. C'est juste une peste arriviste, une harpie, laide, vulgaire, bête et détestable.
Et toutes ces circonvolutions du mari qui n'arrive pas à se défaire de cette folle hystérique qui le harcèle, ou à s'expliquer simplement avec sa femme, c'est pénible. Comme je l'ai déjà dit, si je ne peux m'identifier un minimum, ou si un canevas repose sur une trame idiote, le film ne marche pas sur moi.
Donc un loupé sur toute la ligne en ce qui me concerne. Une purge. Un film sans charme, sans inventivité, bien loin des Lubitsch cités ci-dessus. Je n'avais qu'une hâte, que ça finisse, mais j'ai eu l'impression que ça durait trois heures, j'ai cru que ça ne finirait jamais. Au secours...

0,5/6 (pour la belle Leila Hyams)

AMHA [:fantaroux:2]

Ah tiens, il y a des plans tarabiscotés pour éviter de nous montrer la nudité des femmes, tout en nous montrant qu'on ne les voit pas, c'est d'un bien mauvais effet et parfaitement inutile. Oh, et tous ces tétons qu'on ne saurait voir, ah la la, qu'ils sont coquins. Les adultes étaient alors de grands enfants en ce temps-là.
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 31/03/2021 07:55

jolan a écrit:Elle est pourrie de l'intérieur. C'est juste une peste arriviste, une harpie, laide, vulgaire, bête et détestable.


Ben ouais, c'est la gold digger dans toute sa splendeur.
Avec Baby face, Red-headed woman est sans doute le film qui a poussé le plus loin ce côté sans aucune morale de la gold digger prête à tout pour parvenir à ses fins (sauf que Stanwyck dans Baby face a évidemment quand même beaucoup plus de classe que Harlow).
C'est justement tous les défauts que tu prêtes à juste titre au personnage qui font du film ce qu'il entend être.
Et contrairement à toi, je pense que le rôle sied à merveille à Jean Harlow.
La morale de l'histoire, c'est que les hommes pensent avec leur bite et que les gentilles épouses ne font pas le poids face aux femmes qui jouent de leur cul avec vulgarité.
Ca heurte sans doute ton romantisme mais c'est néanmoins assez souvent une vérité du monde réel.
Sans grâce, oui, ça, c'est certain. Et pas qu'un peu.

Et puis, la gold digger, c'est un phénomène qui s'est répandu dans le cinéma en regard de la terrible dépression économique que vivaient les Etats-Unis à l'époque. A ce titre, Red-headed woman, comme beaucoup d'autres films de ces années-là, est un reflet cynique et cru de cette époque.

Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu n'as pas choisi la très belle romance contrariée entre Kay Francis et William Powell ou la bizarrerie réjouissante de Zoo in Budapest.
Ce Red-headed woman, c'était couru d'avance que tu allais détester.
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 31/03/2021 09:56

Sinon, j'ai complètement oublié de filer les liens que j'avais promis il y a quelques jours.
Les voici avec un peu de retard :

Baby face :

Safe in hell :

I'm no angel (Mae West impériale) :

Zoo in Budapest :

One-way passage :
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede sergent latrique » 31/03/2021 13:04

jolan a écrit:
0,5/6 (pour la belle Leila Hyams)



La belle Leila Hyams qui n'a pas chômé en 1932 étant à l'affiche de Freaks de Tod Browning et Island of lost souls (l'île du Dr Moreau, que je regarderais bien)

Merci pour les liens euh.. :ok:
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 31/03/2021 16:19

sergent latrique a écrit:
jolan a écrit:
0,5/6 (pour la belle Leila Hyams)



La belle Leila Hyams qui n'a pas chômé en 1932 étant à l'affiche de Freaks de Tod Browning et Island of lost souls (l'île du Dr Moreau, que je regarderais bien)

Merci pour les liens euh.. :ok:


Island of lost souls de Erle C. Kenton est plutôt sympa.
Au rayon horrifique du début des années 30, on pense tout de suite bien entendu aux classiques Universal mais ce serait dommage de passer à côté de film moins prestigieux comme ce sympathique Island of lost souls ou aussi Doctor X et Mystery of the wax museum de Michael Curtiz, tous deux avec Fay Wray.
Tu peux aussi essayer White zombie (1932) de Victor Halperin mais là, c'est vraiment de l'ordre du plaisir coupable.
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede makidoo » 31/03/2021 16:37

Red-Headed Woman, Jack CONWAY, 1932

Bon je vais faire plutôt court pour ce film que j’ai très peu apprécié.
Déjà, comme déjà dit précédemment, Jean Harlow est particulièrement moche dans ce film et du coup j’ai du mal à croire à cette histoire. Elle est censée être « trop belle », alors que c’est juste une pouf qui n’a que son cul et ses seins comme atouts.
Bill divorce d’une femme ravissante et intelligente, pour se remarier avec cette beaufette ? Je n’y crois pas. Qu’il couche avec elle pourquoi pas, mais de la à se marier... J’ai trouvé ça long (alors que le film est plutôt court), et je n’y ai trouvé que peu d’intérêt. Ok on a de l’érotisme du début des 30’s (des jarretelles, des jambes, la coloc’ qui suçote sa banane) avant le puritanisme américain, mais bon...
Les acteurs ne sont pas particulièrement bons et l’histoire demeure très basique (la trame d’une femme « prête à tout » pour l’argent et se sortir de sa condition sociale).
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede jolan » 31/03/2021 16:52

euh... si vous le dites a écrit:Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu n'as pas choisi la très belle romance contrariée entre Kay Francis et William Powell ou la bizarrerie réjouissante de Zoo in Budapest.
Ce Red-headed woman, c'était couru d'avance que tu allais détester.


Parce que j'aurais été le seul à le choisir et que ça n'eût rien changé.
J'allais dans le sens d'un film apparemment "important à voir" plutôt que là où mon penchant naturel romantique me guidait.
J'essaie de lire très peu de choses sur les histoires des films avant de voter, mais il va de soi que si j'avais su je n'aurais pas voté pour celui-ci, enfin, il faut voir de tout, c'est aussi le but de ce Ciné-Club ;)

"Zoo in Budapest" je l'ai déjà vu, lorsque j'avais creusé la filmo de la jeune Loretta
Et puis l'autre je vais pouvoir le voir, merci pour les liens ;)
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede lobo » 31/03/2021 18:11

merci pour les liens euh... Je regarde Read Headed Woman ce soir...
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 31/03/2021 18:25

jolan a écrit:Parce que j'aurais été le seul à le choisir et que ça n'eût rien changé.


Pas certain.
Quand tu votes rapidement, il y a des chances que tu influences le vote de ceux qui te suivent.
Et puis, comme c'étaient mes propositions, j'ai voté en dernier et j'aurais pu pousser ton choix.

Perso, ce qui m'a étonné, c'est que personne n'ait voté pour le film avec Mae West et Cary Grant, qui vaut son pesant de cacahouètes. Mae West, c'est un sacré phénomène.

Et puis l'autre je vais pouvoir le voir, merci pour les liens ;)


Kay Francis et William Powell, c'est un beau duo.
Jewel robbery de William Dieterle est pas mal non plus, par exemple.
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede lobo » 31/03/2021 22:51

"Red-Headed Woman" (Conway 1932)
Ah, j'ai bien aimé. C'est donc ça le style pré-code Hays dans le cinéma américain ? On n'est pas au niveau de Sade et des prospérités du vice, on n'est pas non plus au niveau des comics pré-code (CCA cette fois), genre Crime Suspenstories ou Shock Suspenstories avec ces femmes vénales qui assassinent leur vieux mari avec la complicité de leur jeune amant, mais c'est un peu la même insolence, la même anarchie joyeuse à réduire en miettes les institutions et les hypocrisies sociales. Il y a une jubilation chez le spectateur que je suis à voir cette tête à claques de Bill être tenu par les sens par cette pouffe, on a un regard plus affectueux pour ce vieux puritain de Gaeste, qui a l'air d'être un bon bougre. Et tout finit avec ses Français ridicules avec leurs attributs pileux et leur grand prix de l'Amérique. D'ailleurs personne n'est vraiment épargné dans cette histoire, tout le monde est veule ou ridicule ou gnangnan (Irene), mais sans que ce soit fait dans un esprit de ressentiment, plutôt d'anarchie joyeuse. Et puis il y a quelques bons morceaux du jazz des roaring twenties ou early thirties, qui sont esquissés ici ou là.
L'insolence qui est à l'origine même de la BD américaine, cette gleeful anarchy du Yellow Kid ou des Katzenjammer Kids (mit dos kids society iss nix), qui est une des choses que, perso, je recherche dans la bd, et que je trouve aussi bien chez les Kids, dans Bringing up Father, chez Lil'Abner, dans les EC Comics, ou chez les Britanniques de l'école 2000 AD, je la retrouve un peu ici... mais quelques crans en dessous tout de même. Jean Harlow c'est pas tout à fait ça.
Bref j'ai bien aimé.
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede jolan » 01/04/2021 16:56

En attendant notre habituel dernier, on passe à la séance suivante ?

Makidoo, à toi ;)
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede makidoo » 01/04/2021 17:59

Ok. Pour fêter ce reconfinement qui n’en est pas un mais qui n’en n’est un quand même, un peu de légèreté, je propose une sélection de comédies musicales des années 40 avec Gene Kelly :

- For me and my gal (Pour moi et ma mie), Busby Berkeley, 1942
- Anchors Aweigh (Escale à Hollywood), George Sidney, 1945
- The Pirate (Le Pirate), Vincente Minnelli, 1948
- On the town (Un jour à New York), Donen/Kelly, 1949
- Take me out to the ball game (Match d’amour), Busby Berkeley, 1949
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede euh... si vous le dites » 01/04/2021 18:50

Pour moi :

Image
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede makidoo » 01/04/2021 19:15

Moi je choisis Anchors Aweigh, pour voir Gene Kelly danser avec des personnages de dessin animé :-D
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede Olaf Le Bou » 01/04/2021 19:21

le pirate :-D
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Re: Ciné-Club séance 61 : "Red-Headed Woman" (Conway 1932)

Messagede jolan » 01/04/2021 19:34

makidoo a écrit:Moi je choisis Anchors Aweigh, pour voir Gene Kelly danser avec des personnages de dessin animé :-D


Et moi je vote pour Kathryn Grayson :-D
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