Aaaah ! La vignette de KATZ EN COULEUR publiée ci-dessus est nettement plus agréable pour une "BD plusieurs bandes" (comme les premiers GASTON) !
Rares ont été les BD qui reposaient sur un fond blanc, chez Spirou. De mémoire :
- "L'homme aux phylactères" de Gennaux
- "Les naufragés" de Cauvin et Brétécher (il me semble que le fond était blanc)
- "La plus mauvaise BD du monde" de Pévé
- "L'Elan" de Frank (mais ça compte pas : c'était en N&B)
A part le dessin, il y a chez moi un moyen imparable pour décider des qualités d'une BD "grand-public" : l'ONIRISME.
Si le scénariste se sent obligé d'avoir recours aux symbolismes ou aux rêves échevelés pour paraître plus intelligent, hé bien c'est raté !
- Ingmar mélange paradis chrétien et Valhalla dans un
rêve post-ante-mortem (sans compter le thorgalisme primaire :
"je cause avec Odin", "ta destiné : des défis imaginés par les dieux pour toi tout seul", "moi, ce que j'aime, c'est la tranquillité"... pffff !
)
- Cravate
rêve qu'il est étouffé par une sirène (beuh... Ces dessins [:bru:8] !!! C'est de "l'onirisme graphique", ça, non ?)
Pour LE ROYAUME... heu... le dessin et l'aspect artificiel du scénario m'agacent, mais... j'ai bien rit ! (et pourtant, je vous jure que j'ai essayé de boycotter des zygomatiques ! Mais c'est sorti tout seul... :siffle: )
Au fait, avez-vous remarqué que Dupuis s'est mis aux MANGAS ?
[spoiler]Mais siiii : regardez les interviews accolées à des BD (la BD 11 pages ou "la galerie des illustres") :
Il faut D'ABORD avoir lu la BD (et donc RETOURNER A LA PAGE PRECEDENTE pour lire l'article) pour comprendre les questions du journaliste...
Bref, ça se lit DE DROITE A GAUCHE
!!![/spoiler]