Sans compter les auteurs qui rustinent, découpent, recollent leurs planches (de mémoire entre plein d'autres, Geerts, Wasterlain, ou Tillieux chez qui paraît-il on voyait ses planches traîner par terre), ce qui confère souvent à l'original un aspect "pas propre", mais seul compte le résultat imprimé.clefrere a écrit:On ne parle pas de la même période.
Et qui n'a pas été soigneux l'auteur, ou bien, tous les intermédiaires qui ont manipulé les planches ?