monsieur burp a écrit:Une grande époque de la BD qui disparait...
Un messieurs qui nous a fait rêver.
Ce soir je relie "Les Lauriers de César".
rennois a écrit:J'ai découvert ça il y a 5 minutes, merde à chiottes
Steph44 a écrit:Grosse émotion, ce matin, comme pour tout le monde.
Astérix, c'est notre enfance, notre adolescence, notre vie d'adulte.
Il y a peu d'auteurs de bande dessinée qui nous accompagnent ainsi tout au long de notre vie.
Et pourtant l'essentiel d'Astérix s'est étalé sur une dizaine d'années, quinze tout au plus.
Monsieur Uderzo était un immense dessinateur, mais sa mort est dans l'ordre des choses... il avait 92 ans, il a eu une belle vie, et il est mort dans son sommeil... plus de 40 ans après Goscinny qui était né à quelques mois d'écart.
Ciao Uderzo
Gorkh a écrit:Après, si l'"essentiel" d'Astérix, c'est une façon de dire que les scénarios d'Uderzo sont sans intérêt, d'une, c'est pas très classe et de deux, je ne suis pas d'accord.
Steph44 a écrit:Gorkh a écrit:Après, si l'"essentiel" d'Astérix, c'est une façon de dire que les scénarios d'Uderzo sont sans intérêt, d'une, c'est pas très classe et de deux, je ne suis pas d'accord.
C'est ce qui s'appelle détourner un propos.
Ai-je dit que les scénarii d'Uderzo était sans intérêt ?
Dommage de chercher querelle le jour de la mort d'Uderzo, qui, je le redis, était un immense dessinateur, que j'ai lu et relu tout au long de ma vie.
marsunelle a écrit:Février 2020 : Philippe Adamov, Claire Bretécher, Hubert Boulard
Mars 2020 : André Chéret, René Follet, Erwin Drèze, François Dermaut, Albert Uderzo, …
Remarquez qu’en moins de dix jours, deux anciens (Follet et Uderzo) de la World Press et animateurs des belles histoires de l’oncle Paul nous ont quittés. Il reste encore de cette ancienne équipe : Graton (97 ans), Attanasio (95 ans) et Forton (89 ans). Sans vouloir jouer l’oiseau de mauvais augure, il est probable que l’hécatombe dans la bd ne soit pas terminée pour cette année.
yannzeman a écrit:makidoo a écrit:Le Saint a écrit:LeJoker a écrit:C'est assez étonnant, l'annonce de la disparition d'Uderzo me fait exactement la même sensation que le spectacle de Notre-Dame partant en flammes.
C'est "là", ça semble devoir toujours l'être, à tel point qu'on n'y prête plus attention, non pas par mépris mais par une sorte d'accoutumance, et c'est quand cela s'évanouit qu'on en découvre l'importance. C'était hors du cercle de lumière de notre conscience, mais c'était là, et bien là, compagnon de vie parfaitement invisible et pourtant tellement nécessaire.
Superbe
Oui c’est top
Mais pas vrai pour tout le monde.
Ce n'est pas parce que certains vont redécouvrir Uderzo que plus personne ne prêtait attention à ce monument de la BD.
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