nexus4 a écrit:Côté (c'est un gars de chez vous les canadiens ? )
nexus4 a écrit:Côté (c'est un gars de chez vous les canadiens ? )
marone222 a écrit:Balkany libéré sans bracelet électronique...
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html
« Cette décision est irréprochable en droit, car rien ne justifie le maintien en détention d’un homme de 73 ans qui a déjà purgé les deux tiers de sa peine », ont réagi ses avocats
nexus4 a écrit:« Cette décision est irréprochable en droit, car rien ne justifie le maintien en détention d’un homme de 73 ans qui a déjà purgé les deux tiers de sa peine », ont réagi ses avocats
En violant régulièrement le périmètre. Donc il n'a pas du tout purgé sa peine. C'est désespérant.
marone222 a écrit:Balkany libéré sans bracelet électronique...
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html
Mr Degryse a écrit:4 millions d'indus . 1300 euros par mois à rembourser. Ils mettront 256 ans à rembourser la somme. Pour 2 vieux mourants, c'est beau. J'espère qu'on a au moins récupérer pas mal de cette somme par la saisie des biens.
Le mecs remboursent moins que mon prêts mensuel
Je vais peut être demander de rembouser sur 256 ans et non 15.
Une troisième note de l’Élysée, non signée mais vraisemblablement rédigée par le conseiller élyséen Benard Tricot – elle émane de ses archives (...) Adressée le 25 octobre 1961 à Geoffroy Chodron de Courcel, le secrétaire général de la présidence (...)
La voici :
« S’agissant des brutalités ou sévices dont les Musulmans algériens ont pu être victimes ces derniers jours à Paris, je laisserai de côté tout ce qui a pu se passer au cours des manifestations ou immédiatement après. De même, il n’y a pas lieu de tenir compte de tous les renseignements à caractère vague ou hypothétique. En retenant seulement les faits précis venant de sources sérieuses, on peut indiquer : qu’il arrive que des personnes apparemment innocentes, et en tout cas n’ayant aucune attitude menaçante, soient tuées par les forces de l’ordre.
— À Gennevilliers, le jeudi 12 octobre, à 20 heures 30, 60, rue de Richelieu, devant l’école de garçons, un élève du cours de français, Ali Guérat, a été tué par balle. Le directeur du cours, M. Vernet, a été témoin de ce meurtre.
— Il arrive que lorsque des Musulmans sont appréhendés par les policiers ceux-ci détruisent devant eux leurs papiers d’identité. Ce fait, bien qu’il ne soit pas sanglant, me paraît des plus graves. Par une véritable voie de fait la police met elle-même des hommes en situation irrégulière.
— Des hôtels ou magasins musulmans ont été saccagés par la police (un hôtel dans le XVIIIe arrondissement, des magasins à Nanterre) sans qu’apparemment les destructions faites aient pu se justifier par les nécessités d’une lutte soutenue, par des mesures de sécurité ou par les besoins d’une investigation.
— Des hommes appréhendés après les manifestations et conduits dans des lieux de rassemblement (Vincennes, la Porte de Versailles, un lieu nommé “les carrières”, etc.) ont été brutalisés, précipités du haut de l’escalier, roués de coups.
— Dans certains endroits, les hommes appréhendés étaient tellement tassés les uns contre les autres qu’ils furent obligés de rester debout non seulement le jour mais aussi la nuit. »
nexus4 a écrit:Juste préciser d'une part que Mediapart révèle que dalle, ils ont lu les archives qui ont été récemment rendues publiques. Faut qu'il arrête avec leurs révélations à deux balles.
Des archives inédites de la présidence de la République, consultées par Mediapart
nexus4 a écrit:Que d'autre part, de Gaulle note dans la marge que " 1) Il faut faire la lumière et poursuivre les coupables. 2) Il faut que le ministre de l’intérieur prenne vis-à-vis de la police une attitude d’“autorité”.
A l’Elysée, en 1961, voici ce que l’on pouvait lire dans des notes internes : « Il arrive que des personnes apparemment innocentes […] soient tuées par les forces de l’ordre. »
Nos révélations à partir d’archives inédites sur le 17 octobre et bien plus.
ubr84 a écrit:Ouverture des archives...
En 1961, la police tue et terrorise en France, ce n'est pas moi qui le dit c'est la haute administration françaiseUne troisième note de l’Élysée, non signée mais vraisemblablement rédigée par le conseiller élyséen Benard Tricot – elle émane de ses archives (...) Adressée le 25 octobre 1961 à Geoffroy Chodron de Courcel, le secrétaire général de la présidence (...)
La voici :
« S’agissant des brutalités ou sévices dont les Musulmans algériens ont pu être victimes ces derniers jours à Paris, je laisserai de côté tout ce qui a pu se passer au cours des manifestations ou immédiatement après. De même, il n’y a pas lieu de tenir compte de tous les renseignements à caractère vague ou hypothétique. En retenant seulement les faits précis venant de sources sérieuses, on peut indiquer : qu’il arrive que des personnes apparemment innocentes, et en tout cas n’ayant aucune attitude menaçante, soient tuées par les forces de l’ordre.
— À Gennevilliers, le jeudi 12 octobre, à 20 heures 30, 60, rue de Richelieu, devant l’école de garçons, un élève du cours de français, Ali Guérat, a été tué par balle. Le directeur du cours, M. Vernet, a été témoin de ce meurtre.
— Il arrive que lorsque des Musulmans sont appréhendés par les policiers ceux-ci détruisent devant eux leurs papiers d’identité. Ce fait, bien qu’il ne soit pas sanglant, me paraît des plus graves. Par une véritable voie de fait la police met elle-même des hommes en situation irrégulière.
— Des hôtels ou magasins musulmans ont été saccagés par la police (un hôtel dans le XVIIIe arrondissement, des magasins à Nanterre) sans qu’apparemment les destructions faites aient pu se justifier par les nécessités d’une lutte soutenue, par des mesures de sécurité ou par les besoins d’une investigation.
— Des hommes appréhendés après les manifestations et conduits dans des lieux de rassemblement (Vincennes, la Porte de Versailles, un lieu nommé “les carrières”, etc.) ont été brutalisés, précipités du haut de l’escalier, roués de coups.
— Dans certains endroits, les hommes appréhendés étaient tellement tassés les uns contre les autres qu’ils furent obligés de rester debout non seulement le jour mais aussi la nuit. »
Un papier passionant qui jette une lumière crue sur la France des années 60, lisible ici :
https://www.mediapart.fr/journal/france ... lle-savait
nexus4 a écrit:Fabrice Arfi sur TW :A l’Elysée, en 1961, voici ce que l’on pouvait lire dans des notes internes : « Il arrive que des personnes apparemment innocentes […] soient tuées par les forces de l’ordre. »
Nos révélations à partir d’archives inédites sur le 17 octobre et bien plus.
Selon Le Parisien, l'acte notarié fait néanmoins référence à une occupation sans droit ni titre de la maison, ce à quoi Laurent répond qu'il ne s'imaginait pas «qu'une famille s'était installée».
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