Pas eu de problème de suivre, une fois passé l'écueil du début (voir ci-dessous), malgré que je ne sois pas un Lovecraftien, même si j'ai un peu zappé sur la fin (je tombais de sommeil et il était 01h30) ... je la repasse ce soir
C'est pas moins déjanté que Diabolik, et certainement bien plus compréhensible que Atome (faudrait sans doute que je le ré-emprunte pour relire)
Je me souviens avoir (un peu) joué à un jeu vidéo qui resemblais un peu à ce Quix durant les 80's... j'avais totalement oublié ce bidule... Par contre, il est fait aussi vachement allusion à un autre jeu (plus tard dans la décennie) qu'on pouvait jouer à deux, et qui était repris d'un film >> je ne souviens absolument plus du titre pour l'instant (Tron, p-ê ??)
lobo a écrit:Comme j'ai dit plus haut si on accepte de ne pas tout comprendre c'est génial. Pour toutes les raisons que tu as dites Alexander, ou d'autres.
Simplement pour les dernières pages, et notamment la dernière, j'ai peur de n'avoir pas compris un truc capital que d'autres auraient compris et qui expliquerait
la référence au 11 septembre
Moi aussi j'ai un lourd passé de rôliste, un peu sur Call of Cthulhu, mais surtout sur D&D... Et j'ai la nostalgie de ces parties d'enfer, dans ces années 80.
Et moi aussi j'ai beaucoup apprécié la partie de CoC, dans le cimetière, avec l'alternance de la réalité (t'as combien en agilité ?) et de l'univers du JdR. J'aurais bien aimé une petite incrustation, comme celle du Galaxy dans Souvenirs de l'empire de l'atome, de la vraie couverture de D&D que Dani ramène des Etats-Unis...
Perso, j'ai failli abandonner durant cette séquence, cart je l'ai trouvé rebutante.... J'avais qqes potes rôlistes qui ont essayé de m'embrigader (yen avait même un qui faisait des plans de chateaux D&D), mais c'était trop abstrait pour moi. Donc j'ai une connaissance assez passive (pour ne pas dire passable)
vu mon état de fatigue hier soir, j'ai loupé (pas capté) l'allusion 9/11, mais c'est sans doute un coup du double de Dani, ou du frère enfermé, non?
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)