"GENEVIÈVE CASTRÉE : TROP TÔT, TROP TARD"
L'artiste québécoise est décédée d'un cancer, début juillet, à 35 ans. Dernier hommage tardif à cette météorite entre BD indé et rock atmosphérique.
Jetjet a écrit:Pfff et c'est bien dommage tant il s'agissait d'une maison d'éditions de qualité mais y en a que pour Walking Dead, Astérix et ces conneries de comics superslips qui inondent les bacs...
edgarmint a écrit:"GENEVIÈVE CASTRÉE : TROP TÔT, TROP TARD"
L'artiste québécoise est décédée d'un cancer, début juillet, à 35 ans. Dernier hommage tardif à cette météorite entre BD indé et rock atmosphérique.
Par Marius Chapuis pour Libération : http://next.liberation.fr/culture-next/ ... rd_1471238
xof 24 a écrit:Jetjet a écrit:Pfff et c'est bien dommage tant il s'agissait d'une maison d'éditions de qualité mais y en a que pour Walking Dead, Astérix et ces conneries de comics superslips qui inondent les bacs...
Alors t'es tu posé la question du pourquoi cela ne marche pas ???
Ce n'est pas la faute de BDs que tu incrimines.
Non juste le fait qu'il n'y a pas de public pour ces BDs...
Et pour qu'il y ait du public il ne faut pas cracher sur celles qui peux amener le lecteur vers de la BD plus "indépendante"
Un libraire qui essayera de ne vendre que de l'indé ne tiendra pas longtemps
Un libraire qui vends du grand public laissera si il sent le besoin de ses clients une place a cette BD indépendante
corbulon a écrit:Mais bien sûr qu'il y a un public pour ces bandes dessinées, c'était le cas entre 1995 et 2005, et c'était effectivement pas le public classique de bandes dessinées, mais bien celui des librairies généralistes indépendantes, à tel point qu'il y avait plus de chance d'y trouver un David B qu'un Van Hamme-Rosinski. Seulement il s'est passé la même chose qu'avec l'industrie du disque quand les majors ont découvert que les Bérurier Noir étaient vendeurs. Les grands éditeurs ont commencé à faire du simil-indé, et ça a bouffé la part de gâteau des vrais indés. Car c'est la même chose pour le lectorat de littérature géneral et celui de la bande dessinée, une majorité sera toujours attiré par des oeuvres qui ne la sortent pas trop de sa situation de confort. Donc voilà JetJet n'a pas tout tort, il se trompe juste d'outil de comparaison.
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