Le Tapir a écrit:le nouveau Ulli Lust est arrivé, et il a l'air très bien!
368 pages quand même! Il y a de quoi s'amuser un moment!
makidoo a écrit:J’ai bien fait car cela ne m’a emballé plus que ça, cela avait pourtant tout pour me plaire à priori, une autobiographie, le côté « punk », mais non, je ne sais pas pourquoi mais je suis resté en dehors de son récit, du coup je ne suis pas sûr d’être tenté par l´achat de son nouveau récit autobiographique... Je vais attendre des retours je pense.
makidoo a écrit:J’ai donc lu « Alors que j’essayais d’être quelqu’un de bien »
C’est bien meilleur que Trop n’est pas assez selon moi, mieux construit et aussi graphiquement plus abouti, quelques belles pleines pages. Mais c’est peut-être justement graphiquement que le bât blesse chez moi. Je ne suis pas un adepte à tout pris du « beau dessin », loin de là , et ce n’est pas le propos ni l’objectif dans cette autobiographie, mais j’ai du mal à adhérer à son graphisme. Autant j’ai eu l’effet inverse avec, dans le même registre, Xavier Mussat et Sainte Famille ou surtout Carnation (qui pourrait, par son propos, se rapprocher de ce livre), c’est à dire un graphisme que je trouve hyper attractif et intéressant, mais un propos qui ne me touche guère (sa relation avec Sylvia est tellement insupportable que j’avais hâte de finir Carnation...!).
Autant ici la manière de raconter n’est pas dénuée intérêt ni de créativité, mais son graphisme dessert son histoire je trouve. Une relation avec les 3 hommes de sa vie à 23 ans : son homme de cœur, son amant et son fils. Elle aurait très bien pu se contenter d’une pure narration sans images que cela n’aurait pas changé grand chose, et c’est un peu le même sentiment que j’ai eu pour sa précédente autobiographie.
Donc un bouquin intéressant, avec des qualités, mais aussi des défauts qui m’ont encore une fois laissé un peu en dehors de l’histoire.
Le Tapir a écrit:Aprés lecture, je confirme juste mon impression première, qui est que ce deuxième roman graphique traduit en français : «Alors que j’essayais d’être quelqu’un de bien » me parait bien plus dense et aboutit que le premier ( Trop n'est pas assez) qui était déjà pas mal!
Ce qui est notable c'est le coté " quasi cahier intime" du truc! J'ai rarement, voir jamais lu une auteure femme se livrer ainsi! C'est du brut, sans fioriture! Pour moi, cette bd aurait largement mérité de ramasser un prix à Angoulême ( je précise que c'est peut-être le cas, j'ai pas trop suivi! Si c'est le cas, excusez moi)! Bref, je conseille vraiment!
corbulon a écrit:Le Tapir a écrit:Aprés lecture, je confirme juste mon impression première, qui est que ce deuxième roman graphique traduit en français : «Alors que j’essayais d’être quelqu’un de bien » me parait bien plus dense et aboutit que le premier ( Trop n'est pas assez) qui était déjà pas mal!
Ce qui est notable c'est le coté " quasi cahier intime" du truc! J'ai rarement, voir jamais lu une auteure femme se livrer ainsi! C'est du brut, sans fioriture! Pour moi, cette bd aurait largement mérité de ramasser un prix à Angoulême ( je précise que c'est peut-être le cas, j'ai pas trop suivi! Si c'est le cas, excusez moi)! Bref, je conseille vraiment!
Euh c’est le troisième hein.
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