Raven2b a écrit:Arpès Owens hier, l'arbitrage de Barnes aujourd'hui
On se croirait 35 ans en arrière avec eux, ils sont le passé de l'arbitrage.
Raven2b a écrit:Arpès Owens hier, l'arbitrage de Barnes aujourd'hui
Matthaeus a écrit:Disons qu'il ne sait toujours pas trouver les touches décisives
Matthaeus a écrit:On se fait bien entubé par l'arbitre, c'est énorme Même avec la vidéo, il va à l'encontre !
On a bien compris maintenant qui les instances veulent en demi
Le comité directeur de la Fédération française de rugby, réuni vendredi à Marcoussis, a décidé de ne pas suivre la proposition du Comité national olympique et sportif français qui avait proposé, le 29 mars dernier, que le statut JIFF (joueur issu des filières de formation) soit attribué à Scott Spedding pour deux saisons sportives, à partir de 2018-2019. Arrivé en France en 2008, avant la mise en place de la réglementation JIFF (en 2010) censée protéger l'équipe de France, Spedding, 31 ans, avait été naturalisé français en 2014 et compte 23 sélections avec les Bleus. Mais il ne rentre pas dans les critères JIFF (avoir passé trois ans dans un centre de formation ou avoir joué cinq ans dans un club français avant ses 23 ans).
La politique actuelle des clubs français, qui devront aligner dès l'an prochain quinze JIFF en moyenne par match, est défavorable à ceux qui n'ont pas ce statut et le CNOSF avait fait une proposition quasi sur-mesure pour Spedding (la limitant à deux saisons et insistant sur son caractère exceptionnel) pour éviter qu'elle ne débouche sur une jurisprudence. La FFR, qui dit redouter qu'une brèche soit ouverte pour d'autres joueurs dans le même cas que Spedding - alors qu'ils ne seraient que cinq ou six sur 1200 rugbymen professionnels -, a cependant décidé de rester inflexible. Spedding pourrait désormais aller devant le Tribunal administratif, puis devant la Cour européenne. Dans ce cas, tout le statut JIFF risque d'être complètement remis en question. En effet, dans le droit européen, ces règlements sont souvent considérés discriminatoires vis-à-vis des joueurs étrangers puisqu'ils entravent la libre-circulation des travailleurs. La Ligue espagnole de basket en a fait les frais en 2014, mise en demeure par la Commission européenne de supprimer son règlement JFL (joueurs formés localement).
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