EYE OF DOOM a écrit:Je vois d’ici l’excellente histoire que Jack Davis en aurait tiré: un editeur escro et ruiné ressuscite les dessinateurs pour leur soutirer leur signature « d ‘outre tombe » pour une edition prestigieuse avec laquelle il compte refaite fortune. Chacun se vengera du malfaisant en lui faisant subir une atrocité tirée d’une histoire qu’il a dessiné.
lobo a écrit:EYE OF DOOM a écrit:Je vois d’ici l’excellente histoire que Jack Davis en aurait tiré: un editeur escro et ruiné ressuscite les dessinateurs pour leur soutirer leur signature « d ‘outre tombe » pour une edition prestigieuse avec laquelle il compte refaite fortune. Chacun se vengera du malfaisant en lui faisant subir une atrocité tirée d’une histoire qu’il a dessiné.
Blueskin Pierre a écrit:Imposante la bête C'est bien, ça me fait les biceps
Je le déguste façon "calendrier de l'avent" : quelques histoires tous les jours
Blueskin Pierre a écrit:Imposante la bête C'est bien, ça me fait les biceps
Je le déguste façon "calendrier de l'avent" : quelques histoires tous les jours
Papy Boingtone a écrit:Blueskin Pierre a écrit:Imposante la bête C'est bien, ça me fait les biceps
Je le déguste façon "calendrier de l'avent" : quelques histoires tous les jours
Oui belle bête !
Et tu n'as pas une marque en plein milieu de ta couverture, comme une trace de cutter ?
Mon exemplaire est comme ça et j'en ai vu un autre, pareil !
Pour 79 €, ça fait un peu chi**...
Blueskin Pierre a écrit:Papy Boingtone a écrit:Blueskin Pierre a écrit:Imposante la bête C'est bie n, ça me fait les biceps
Je le déguste façon "calendrier de l'avent" : quelques histoires tous les jours
Oui belle bête !
Et tu n'as pas une marque en plein milieu de ta couverture, comme une trace de cutter ?
Mon exemplaire est comme ça et j'en ai vu un autre, pareil !
Pour 79 €, ça fait un peu chi**...
Non je n'ai pas ça.
Le seul défaut que j'ai noté pour l'instant est d'impression. Page 111, premier strip : les textes ne sont pas dans les récitatifs ni les bulles, mais en dehors à cheval sur le dessin.
Stephen King a écrit:[...] Parmi les multiples idées qui m’animaient durant cet âge d’or, l’une d’entre elles était de parvenir à combiner le mythe du vampire gothique à la Dracula dans un récit réaliste à la Frank Norris, tout en gardant l’univers des comics d’épouvante que j’adorais tant quand j’étais enfant… non seulement, cela me paraissait parfaitement possible, mais j’étais certain que cela pourrait produire le grand roman du siècle. [...] Croyais-je sérieusement pouvoir combiner Dracula et Les Contes de la crypte, et accoucher d’un nouveau Moby Dick ? La réponse est oui. Deux fois oui ! [...] Quand, en 1972, je me suis attablé pour écrire ma version de cette histoire (une version s’inspirant davantage des élucubrations illustrées juives-américaines de William Gaines et d’Al Feldstein que des contes folkloriques roumains), un monde différent s’est ouvert devant moi, un monde où la merveille technologique, tant chérie par Stoker, avait fait long feu et où la science n’était plus porteuse d’espoir mais d’inquiétudes. [...]
Stephen King a écrit:J’ai découvert Dracula à l’âge de neuf ou dix ans – aux alentours de 1957, me semble-t-il. [...] Un an ou deux plus tard (lorsque nous avons quitté le Connecticut pour retrouver notre Maine natal), j’ai découvert une caisse remplie de bandes dessinées (dont toutes les couvertures étaient déchirées) dans un magasin appelé The Kennebec Fruit Company. J’ai eu le tout pour quelques dollars. Certains étaient des Classiques illustrés (bof), d’autres des Donald (mieux), et nombre étaient des comics fantastiques tels que les contes de la crypte et le caveau de la terreur (le meilleur de tous). Dans ces BD, j’ai découvert une nouvelle espèce de vampires, à la fois plus rustiques que celui de Stoker, et physiquement plus monstrueux. Ils étaient pâles, terrifiants avec leurs crocs démesurés et leurs lèvres rouge sang. Ils n’aspiraient pas délicatement la vie de leurs victimes à l’instar du comte Dracula qui s’abreuvait jour après jour auprès de la pauvre Lucy Westenra ; les vampires de ces comics, créés par Al Feldstein et dessinés par Graham « Ghastly » Ingels, avaient des méthodes plus rudimentaires : ils déchiraient les chairs, lacéraient, déchiquetaient. Dans un épisode, des vampires, propriétaires d’un restaurant, avaient installé des robinets dans le cou de leurs victimes agonisantes, et les avaient suspendues par les pieds ; ils buvaient goulûment à cette fontaine écarlate comme des enfants assoiffés à un robinet de jardin en plein été. Les victimes ne poussaient pas seulement des gémissements ou des plaintes étouffées, comme Lucy dans son lit ; c’était plutôt des cris pleins de Arrrgggghh ! et de Raaaahhh ! qui rappelaient les râles d’un tuberculeux. Ces vampires me terrifiaient totalement, jusqu’au tréfonds ; ils hantaient mes cauchemars, et me poursuivaient avec leurs bouches de cannibales béantes, toutes hérissées de crocs.
Ma mère désapprouvait ces lectures, mais elle ne nous a jamais confisqué ces BD. Elle jugeait ces histoires dégoûtantes, mais de toute évidence, elle ne les rangeait pas dans la case des « mauvaises histoires ». Finalement, je me suis lassé (le processus aurait sans doute été plus rapide sans la désapprobation maternelle), mais ces vampires ont continué à m’habiter, aussi essentiels à leur manière que le comte de Stoker – peut-être plus encore, parce qu’à l’inverse de Dracula, c’étaient des vampires américains. Certains conduisaient des voitures, avaient des rendez-vous galants… d’autres étaient propriétaires d’un restaurant pour vampire (dont une spécialité, je me souviens, était des « croûtes de sang frites »). Posséder une gargote, n’était-ce pas le meilleur exemple de ce bon vieil esprit de libre entreprise à l’américaine !
[...]
Salem a été publié tout d’abord chez Doubleday en 1975. En bien des manières, ce roman est ancré dans cette période (j’ai toujours été, malgré moi, un écrivain de mon époque), mais je l’aime toujours autant et je le compte parmi mes œuvres favorites. J’aime le tableau qu’il dépeint de cette petite ville de Nouvelle-Angleterre; j’aime cette menace sourde qui plane; j’aime les résonances internes avec Dracula et les comics d’épouvante de ma jeunesse, où les vampires déchiquetaient les chairs plutôt que boire délicatement le sang, comme à une dégustation de grand cru. [...]
Jean-Frederic Minery a écrit:Savez-vous si les TALES FROM THE CRYPT de AKILEOS sont la réédition de ceux de ALBIN MICHEL ?
Jean-Frederic Minery a écrit:Et si l'intégrale AKILEOS contient le hors série de 25 pages et les couvertures qui étaient dans les tomes individuels ?
mirada2000 a écrit:Des diffences entre cette intégral en 1 tome et ceux publiés en plusieurs.
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