Belle petite moisson, Fan !
A propos de Marijac un copain a trouvé (et m'a montré, l'enfoiré
)un album des Trois mousquetaires du maquis déniché hier sur notre brocante habituelle, avec un beau dessin en dédicace, à savoir "l'avocat" (un des mousquetaires-maquisards)sur fond de forêt !! Bordel, j'aurai bien aimé le trouver avant lui !
Des originaux de Marijac étaient il y a peu en vente chez Buret pour 30 ou 40 euros. J'en avais acheté 3. Peut-être en restent-ils encore ?...A ce prix là, c'est vraiment intéressant.
Sinon, petite récolte sur la broc, mais bien diversifiée :
- Un roman de J
ean Anglade dédicacé ( l'auteur aura 100 ans en 2015!
). 1 euro.
- Un essai politique de
Michel Debré daté de 1963, et dédicacé. J'ai parcouru les pages consacrées à l'Algérie, on mesure à quel point l'amer Michel a dû bouffer son châpeau !
2 euros.
- Un énorme recueil des "unes" de
Libé, de 1973 à 2010, sou-ouvenir, sou-ouvenir...( l'était vendu 50 euros à sa parution, le gars en voulait 5 euros, la broc est un petit paradis).
- 2 dessins aquarellés d'un certain Charvet, très frais, avec une dizaine de lettres des années 60 de dirigeants de l'ASM et de la Fédé de rugby (y en avait un carton plein, je me suis limité), le tout pour 3 euros.
- Un
catalogue de ventes aux enchère Néret Minet de 2005 avec de belles repros couleurs ( et aussi 2 planches de Tillieux, une de la Voiture immergée estimée...17000 euros!!, et une de Surboum pour 4 roues pour 7500 euros: ont-elles été vendues?). Donné par un copain (le catalogue, pas les planches de Tillieux
)
- Un magnifique numéro de
Femmes d'aujourd'hui de 1953 (1 euro) avec du Trubert, et du Calvo (Moustache et Trotinette): c'est un numéro que j'ai lu à cette époque, chez ma grandmère. Je restais un moment a contempler les compositions de Calvo ( un château-fort dessiné en plongée, vertigineux !). Qu'elles paraissent éloignées ces années cinquante, et pourtant si proches lorsque je tombe sur ce genre de magazine...
Finalement ce qui m'a coûté le plus cher c'est la tournée au bistro avec les potes, mais là, on ne compte pas .
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