Palome Moritz explique dans La France a peur qu'elle a dû arrêter son interview parce que C. Cassou était au bord des larmes, de frustration de ne pas réussir à se faire entendre.
C'est complètement déprimant, l'alerte est claire depuis les années 70, les effets du réchauffement arrivent de manière sensible par tous, et la réaction des populations et des politiques c'est de se réfugier dans le climatoscepticisme d'extrême-droite.