Je viens de lire Dix de der, constat: "Après les échecs, la belote!"
Comme je le laisse supposer plus haut le rapprochement avec "L'ombre du corbeau" est inévitable voire indéniable!
Ici du soldat allemant, on passe à l'Américain. On change de camp et de décor: du cadre paisible et onirique où Goetz dans "l'ombre "trouve refuge auprès des ces hôtes étranges, notre "Bleu" vit en huit clos avec les victimes de la guerre.
Finalement après l'impression de copier-coller entre les albums, on pense plutôt à "une suite", "une autre version des faits".
En effet, dans l'ombre, les victimes directes, soldats, de la guerre était concernées. Ici, ce sont les victimes civiles (sauf l'allemand) qui sont à "l'honneur" et soulignent la bêtise de la guerre par l'humour "ironique".
Dans l'ombre, Goetz échappe à la mort pour mieux retourner au combat. Ce n'est que partie remise. Pour notre "bleu", dès le début, il fait un beau quatrième joueur...
Sans tout dévoiler, je vous laisse découvrir cet album dont le noirs et blanc remarquables accuentent l'aspect fantastique, la noirceur de la guerre et le saugrenu de la vie.