alors ça n'atteint pas la poignante magnificence des versions en trio avec Ami Flammer, Moshe Leiser et Gerard Barreaux (de toute façon rien n'est comparable, c'est inatteignable) mais il y a quelques titres moins connus et quelques belles réinterprétations :
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux
En toutes choses, subordonner le désir de juger au devoir de comprendre.
un exercice original pour redécouvrir le groupe Kino, les musiciens jouant en live sur la voix enregistrée de Victor Tsoï. les concerts de l'époque ont souvent un son pourri, là on a une belle unité, les titres sont bien mis en valeur, et il y a tous les classiques du groupe.
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux
En toutes choses, subordonner le désir de juger au devoir de comprendre.
Waters me surprend avec cette version crépusculaire d'une chanson qu'on attendait tous à la fin de chaque concert et qu'il choisit ici de faire semble t'il en ouverture des concerts de sa nouvelle tournée en se débarrassant du célèbre solo de guitare. osé mais réussi.
"Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence, alors tais-toi".