rahoul a écrit:LEAUTAUD a écrit:Faudrait en retrouver un morceau pour une validation ADN
Sûr que les ricains l'ont, cet ADN, c'est une priorité des services de renseignements, si j'en crois les articles lus à ce sujet.
Le genre de remarque typique du collectionneur compulsif...
Bossacdenoyau a écrit:Maryam Mirzakhani, iranienne, première femme médaille Fields en 2014, 40 ans...
Le Complot a écrit:Bossacdenoyau a écrit:Maryam Mirzakhani, iranienne, première femme médaille Fields en 2014, 40 ans...
Marrante cette propension des iraniens pour les sciences (y compris sociales) car géographiquement c'est le vide autour d'eux.
LEAUTAUD a écrit:Vision très large, certes, mais aucune signature dans ma bibliothèque.
Alors que le juge Lambert, oui.
La densité d'une oeuvre est supérieure lorsqu'une trace du vivant de son auteur subsiste sous mes yeux, la réalité d'une disparition se mesurant individuellement par le rapport que nous entretenons avec elle.
Dans le cas de cette mathématicienne, illustre inconnue pour ce qui me concerne (Vialatte parlant de lui disait "je suis notoirement méconnu", ce qui me le rendait proche) mon rapport ne repose que sur l'annonce de son décès, autant dire la vacuité médiatique habituelle.
Le juge Lambert a mêlé son existence à la mienne en forçant mon attention à plusieurs reprises, l'enfoiré.
J'ai donc un de ses romans dédicacé, une manière de le convoquer à mon tour sur les étagères de ma bibliothèque.
arcarum a écrit:Martin Landau 89 ans.
logan1973 a écrit:Anne Golon, auteure d'Angélique (qui au passage a du utiliser le nom de son mari pour voir son roman publié dans certains pays)
logan1973 a écrit:Anne Golon, auteure d'Angélique (qui au passage a du utiliser le nom de son mari pour voir son roman publié dans certains pays)
Sean a écrit:LEAUTAUD a écrit:Vision très large, certes, mais aucune signature dans ma bibliothèque.
Alors que le juge Lambert, oui.
La densité d'une oeuvre est supérieure lorsqu'une trace du vivant de son auteur subsiste sous mes yeux, la réalité d'une disparition se mesurant individuellement par le rapport que nous entretenons avec elle.
Dans le cas de cette mathématicienne, illustre inconnue pour ce qui me concerne (Vialatte parlant de lui disait "je suis notoirement méconnu", ce qui me le rendait proche) mon rapport ne repose que sur l'annonce de son décès, autant dire la vacuité médiatique habituelle.
Le juge Lambert a mêlé son existence à la mienne en forçant mon attention à plusieurs reprises, l'enfoiré.
J'ai donc un de ses romans dédicacé, une manière de le convoquer à mon tour sur les étagères de ma bibliothèque.
Et une lettre du corbeau ?
Sean a écrit:LEAUTAUD a écrit:Vision très large, certes, mais aucune signature dans ma bibliothèque.
Alors que le juge Lambert, oui.
La densité d'une oeuvre est supérieure lorsqu'une trace du vivant de son auteur subsiste sous mes yeux, la réalité d'une disparition se mesurant individuellement par le rapport que nous entretenons avec elle.
Dans le cas de cette mathématicienne, illustre inconnue pour ce qui me concerne (Vialatte parlant de lui disait "je suis notoirement méconnu", ce qui me le rendait proche) mon rapport ne repose que sur l'annonce de son décès, autant dire la vacuité médiatique habituelle.
Le juge Lambert a mêlé son existence à la mienne en forçant mon attention à plusieurs reprises, l'enfoiré.
J'ai donc un de ses romans dédicacé, une manière de le convoquer à mon tour sur les étagères de ma bibliothèque.
Et une lettre du corbeau ?
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