Noir Horizon - Pelaez, Blasco Martinez - Glénat

[The Got]

Message précédent :
Un tome deux encore plus réussi que le premier qui m'avait emballer.
L'histoire s'étoffe vraiment bien et il y a des rebondissements à la pelle. Nos "héros" morfle sévère et le Gouverneur me fait grave flippé. Il ressemble à un Marlon Brando moins gros mais bestial et totalement fou.
Graphiquement chaque planche est un plaisir pour les yeux. Par contre âme sensible s'abstenir. C'est sanglant et un peu gore par moment.
Bref un tome deux qui monte d'un cran et j'espère que le tome trois fermera cette trilogie en apothéose.

[Philippe Pelaez]

The Got, réponse en septembre 2025 !!

[bone]

Je me reste à attendre Septembre pour connaitre la fin de l'histoire

[rvrdelc]

je ne vois pas de noir horizon 3 dans le programme des sorties glénat jusqu'à la fin de l'année.
un léger report ?

[Julien Despreux]

La faute à "Kennedy(s)" ?

[Philippe Pelaez]

Ouh là, non ! J'ai fini le scénario de Kennedy(s) au cours de l'été 2024, et le tome 3 de Noir Horizon était écrit depuis un petit moment déjà !

Ce dernier opus sortira début 2026, sûr ! Et je vous montrerai la couverture ici en avant-première. Avec le retour des monstres

[pulpy]

Cool
On attendra quelques mois de plus, pas grave.

Très curieux de ce Kennedy(s) avec ses plus de 500 pages

[Philippe Pelaez]

Pour Kennedy(s), compte une bonne journée de lecture

[tomek14]

Je viens de lire enfin le tome 1. Plutôt plaisant.
Ca me rappel un peu une autre oeuvre de Philippe: Parallèle.

Je vais essayer d'enchainer avec le tome2 en attenant le 3

[tomek14]

Une petite déception ce tome 2 qui part dans tous les sens sans rien développer

[Morti]

Une petite déception ce tome 2 qui part dans tous les sens sans rien développer

Ben si mais un développement différent, pas vraiment dans le style du tome 1.

J'attends le 3 avec une impatience grandissante...

[rvrdelc]

Tome 3 le 14 janvier.

[bone]

Tome 3 le 14 janvier.

Toujours d'actualité

Fiche Glénat

[Julien Despreux]

A paraître le 14/01/2026, le troisième et dernier volet "Shemot" de la trilogie "Noir Horizon" (Philippe Pelaez | Benjamin Blasco-Martinez) qui approche de son dénouement, mêlant subtilement références bibliques et scientifiques :

L'Apocalypse est pour aujourd'hui.

Les quatre renégats Esther, Judith, Tobie et Ben ont réussi à libérer les opprimés de Kadingirra. L'omnipotent Gouverneur Achab a perdu l'appui du peuple et des castes supérieures. Alors que la cité est en proie aux flammes, l'équipe décolle à bord de l'immense vaisseau Shemot, laissant derrière elle cendres et chaos.

À bord, les hommes et les femmes qui ont fui la cité espèrent une vie meilleure mais ils ignorent ce qui se trame sur Kepler. Il est temps pour Esther, commandante du navire, de leur dire la vérité : Kepler ne recèle pas uniquement la promesse d'un futur, derrière l'horizon noir, un brouillard transforme les individus en monstres !

Si les nouveaux colons veulent bâtir une nouvelle civilisation, il leur faudra s'entraider et ne jamais s'exposer à la brume. Mais alors que l'angoisse s'empare de certains, personne ne se doute encore que le Gouverneur est à leur trousse, entouré d'une poignée de fidèles irréductibles.

Pourrait-il anéantir tout espoir de survie ? Est-ce possible de cohabiter avec cette brume maléfique ? Esther devra faire les bons choix et résister à la peur comme aux croyances aveugles, si elle veut guider son peuple à travers les ténèbres.

Cette trilogie SF déconcertante, mêlant subtilement références bibliques et scientifiques, touche à sa fin. Avec une forte approche cinématographique, le duo signe un album à l'ambiance sombre qui fait dialoguer science et religion, avec des dessins virtuoses, pour une oeuvre à forte portée universelle qui se veut être une allégorie de la tyrannie.

[Morti]

'tain, ils ont encore fait fort pour la couverture...

[Philippe Pelaez]

Oui, elle claque à mort celle-là aussi !

Si ça vous tente, je vous conseille de lire Discours de la servitude volontaire, d'Étienne de La Boétie. C'est un texte assez court écrit en 1574 par un très jeune homme qui tente de comprendre comment des millions d'hommes peuvent se soumettre à l'autorité d'un seul.
Cela peut vous surprendre, mais Noir Horizon, plutôt du genre hard SF, est une réécriture de ce livre. Avec ma vision, bien sûr

[Julien Despreux]

Si ça vous tente, je vous conseille de lire Discours de la servitude volontaire, d'Étienne de La Boétie. C'est un texte assez court écrit en 1574 par un très jeune homme qui tente de comprendre comment des millions d'hommes peuvent se soumettre à l'autorité d'un seul.

Cela peut vous surprendre, mais Noir Horizon, plutôt du genre hard SF, est une réécriture de ce livre. Avec ma vision, bien sûr

Impressionnant, tant de ta part de te consacrer à cette ambitieuse entreprise que de celle de l'auteur - dont les historiens estiment qu'il a été écrit par La Boétie probablement à l'âge de 16 ou 18 ans - de ce Discours de la servitude volontaire qui constitue une rupture par rapport à la théorie classique de la domination et invente un nouveau paradigme pertinent de notre modernité !

[Morti]

Oui, elle claque à mort celle-là aussi !

Si ça vous tente, je vous conseille de lire Discours de la servitude volontaire, d'Étienne de La Boétie. C'est un texte assez court écrit en 1574 par un très jeune homme qui tente de comprendre comment des millions d'hommes peuvent se soumettre à l'autorité d'un seul.
Cela peut vous surprendre, mais Noir Horizon, plutôt du genre hard SF, est une réécriture de ce livre. Avec ma vision, bien sûr

Je viens de passer en vitesse sur Wiki pour voir en quoi consiste le Discours de la servitude volontaire.
Très intéressant car totalement d'actualité.
Etonnant venant de la part d'un jeune homme du XVIe siècle, cela pose effectivement de bonnes questions.
Je pense relire Noir horizon au prochain tome avec cette idée en tête.
Merci pour l'info...

[Philippe Pelaez]

Oui, très surprenant. Fascinant, même...

Tu sais, il y a toujours quelque chose derrière le scénario, une histoire derrière l'histoire : Le Discours de la servitude volontaire derrière Noir Horizon n'est qu'un exemple (c'est aussi le cas dans Air). Pour t'en donner un autre, j'ai écrit Neuf parce que je venais d'apprendre que mon père allait mourir, d'où l'histoire de cet astronaute qui voyage dans le temps et essaie de remonter trente ans en arrière, quand il avait neuf ans, pour sauver son père. Idem dans Épouvantail, qui est... pffff, je ne sais même pas ce que c'est : un thriller ? une comédie ? un récit d'horreur ? un drame ? Mais avec l'absence de la mère comme fil directeur.
À part pour les adaptations de romans, je mets des petits bouts de moi partout...