Alors, ce qui est écrit dans la BEL n'est pas faux, Arleston et Latil signent tous deux le scénario de ce chapître des aventures de la resplendissante Moréa. D'ailleurs, on n'a qu'à regarder la couverture pour en obtenir la confirmation
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Ouaich ouaich.
N'empèche, en lisant Moréa 4, on a clairement affaire à un style de narration arlestonien, avec ses grandes légendes humouristiques dés qu'on change de décor... Bon, on va dire qu'Arleston & Latil ont coécrit le scénar, ça mettra tout le monde d'accord
Revenons à nos moutons . L'essentiel pour moi, c'est que Moréa sort du lot de ce qu'on a l'habitude de lire chez Arleston. Ici, l'architecture troyenne a laissé sa place à la technologie, au business et aux vieux mythes religieux. C'est pas plus mal, et ça le fait bien
Un tome 4 bien sympa à lire, clair et concis, plein d'action, et toujours aussi fun à lire
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Quelquefois, quant on la voit à la tête d'une des plus grandes multinationales, on se dit que Moréa est une Largo Winch féminie avec quand même un atout supplémentaire de belle taille : celui d'avoir du monde au balcon
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. Mais heureusement, la série n'est pas basée que sur ses nichons
Bref, outre le scénar plutot cool et innovant, faut dire aussi que le style de Labrosse ajoute du charme à la série. Tranquille le mec... A croire qu'il dessine avec two fingers in the noise : non seulement son trait est lancé, et il ne rate aucune proportion.
Voilà, tout ça pour dire que Moréa, c'est d'la bombe baby !
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