Merci pour ce travail de bénédictin, ocata.
Ce n'est pas un scoop, je n'ai toujours pas lu ni acheté
Un cow-boy à Paris. Pas eu le temps. Je lis (ou relis selon les titres) Malaparte, en ce moment.
Je trouve opportun le clin d'œil à Verlaine et Rimbaud. Mais Jul aurait pu aller un peu plus loin dans l'humour qui bouscule le lecteur en faisant réclamer par Rimbaud non point des caramels mais des pralines (célestes
). Ceci en référence à un célèbre sonnet(*) qu'on n'enseigne pas dans le secondaire mais relativement court et donc facile à apprendre pour briller en société.
Ocatarinetabelatchixtchix a écrit:Les poètes Paul Verlaine et Arthur Rimbaud ont aussi eu leur heure de gloire dans l'album "Un cow-boy à Paris"
Le fameux sonnet du "trou du cul" (dans les recueils Zutique ou Hombres) parodiant les sonnets du poète mondain Albert Mérat, compilés dans le recueil "L'idole" (sonnet du front, sonnet des fesses, etc...) et composés en hommage à une dame qui produisait un certain effet pour ne pas dire un effet certain sur le pédant homme de plume.