Vainsy a écrit:Ne te précipite pas dessus !!!
Dans le topic des "intégrales à venir"(*) est annoncée l'intégrale XXL d'Albany & Sturgess : cette trilogie + la trilogie Blitz + la monographie de Sturgess...
Parution le 29 novembre, 20x28 cm, 408 pages, 39 €
Excellente initiative de tout intégrer dès lors que les histoires se rapportent, même indirectement, à l'existence d'Albany et Sturgess.
Mais est-ce que ce copieux volume reprendra également les savoureuses et très littéraires "Chroniques d'Oliver Alban" ?
A signaler que l'édition originale et les premières réimpressions de la
Trilogie anglaise, bénéficiaient d'un format 24x32, plus grand que le volume à paraître.
Vainsy a écrit:Et en ce qui concerne l'Art book, sûr qu'il a l'air très joli, mais mais mais, je subodore une énorme erreur en couverture
si, comme j'en ai l'impression, il s'agit bien de rouge-gorges qui se promènent de l'autre côté de la baie : le rouge-gorge est solitaire et, s'il s'aventure à se rapprocher des habitations lors des grands froids, c'est toujours à l'unité !
En examinant la couve de l'artbook, on ne peut distinguer avec certitude que l'un des deux passereaux ; et il ne s'agit pas d'un rouge-gorge mais de son "cousin", le rouge-queue ou rossignol des murailles, un autre sympathique compagnon des jardins.
J'ai souvent pu admirer plusieurs rouges-queues dans mon jardin, sans doute de la même fratrie. Même chose pour des mésanges diverses. Mais je crois, plus rarement, avoir constaté jadis la présence de deux rouges-gorges chez mes parents (répartis sur un vaste terrain autour de la maison avec plusieurs arbres, bâtiments et dépendances). En revanche, si les mésanges évoluaient en se bousculant dans un espace restreint, je n'ai jamais vu les R-Q et encore moins les R-G à proximité d'un autre, au sol.
Mais deux R-Q dans un même arbre, sur des branches différentes, si.
Le rouge-gorge, solitaire, aime à suivre le jardinier qui retourne la terre.
Franquin a pris la liberté dans "Touchez-pas aux Rouges-gorges" de dessiner cinq R-G (sans doute les petits qui venaient d'éclore puis d'apprendre à voler) sur la queue du Marsupilami, ainsi qu'un autre sur une oreille et un septième sur le tronc d'arbre servant d'oreiller au marsu (dernière vignette, épilogue du gag en deux planches). Toutefois, au début, Franquin n'en montre qu'un seul au sol, sous le regard admiratif du marsu. Qui se chargera de mettre un terme à la menace qui plane sur le nid des R-G, ce qui justifie la réunion de toute la famille autour du marsu en fin de récit.