Il faudrait éduquer les gens pour qu' ils demandent à voir les bouquins sous cellophane...il faudrait éduqer les liraires pour qu'ils acceptent denlever les cellophanes)
Il faudrait éduquer les gens pour qu' ils demandent à voir les bouquins sous cellophane...il faudrait éduqer les liraires pour qu'ils acceptent denlever les cellophanes)
Acheté les yeux fermés l'édition spéciale en noir et blanc. Après avoir enlevé le plastique (c'est quand même rageant de devoir acheter pour voir ce qu'il y a dedans : il faudrait éduqer les liraires pour qu'ils acceptent denlever les cellophanes sans qu'on achète les livres quand même, sinon autant acheter sur internet)
Bref : cela alterne les pages de synopsis, assez sommaire, un peu comme ce que Hergé a fait pour l'Alphart, un peu au crayon, un peu au bic, un peu en bleu, un peu en rouge... et en face, la planche en noir et blanc. Quelques croquis pas bien intéressants au début et à la fin. Papier assez épais mais quand même pas transcendant. Belle couverture toilée.
Ah il est bien, ce tome 5 !... Je suis d'accord avec le posteur précédent pour dire que c'est le meilleur de la série (le plus long aussi... ceci expliquant peut-être celà).
Sfar nous dit avoir fait un livre sur le racisme. C'est vrai. Sujet bateau s'il en est, mais il réussit à ne jamais être lourd, ni pompeux, ni donneur de leçons. Il parle beaucoup plus du racisme dont on pourrait se rendre coupable que de celui dont on pourrait être victime.
La scène au milieu du désert, avec le chef qui veut son portrait, réussit à être à la fois drôle, pleine de tension, et forte en réflexion.
Et même le dessin est bien... c'est vous dire !!!
Et puis comment ne pas apprécier un album dans lequel on a des dialogues comme:
L'amitié entre les peuples, c'est caca ! Vive l'amitié entre les hommes !
Acheté les yeux fermés l'édition spéciale en noir et blanc. Après avoir enlevé le plastique (c'est quand même rageant de devoir acheter pour voir ce qu'il y a dedans : il faudrait éduqer les liraires pour qu'ils acceptent denlever les cellophanes sans qu'on achète les livres quand même, sinon autant acheter sur internet)
Bref : cela alterne les pages de synopsis, assez sommaire, un peu comme ce que Hergé a fait pour l'Alphart, un peu au crayon, un peu au bic, un peu en bleu, un peu en rouge... et en face, la planche en noir et blanc. Quelques croquis pas bien intéressants au début et à la fin. Papier assez épais mais quand même pas transcendant. Belle couverture toilée.
Il faudrait éduquer les gens pour qu' ils demandent à voir les bouquins sous cellophane...
Apparemment, je suis le seul à avoir demandé. Et la réponse c'est "d'accord mais alors vous l'achetez". Ca m'a refroidi. C'est quand même plus simple quand les bouquins sont pas emballés.
Avant de choisir un livre,
il est important de choisir le libraire.
Ah effectivement...Et la réponse c'est "d'accord mais alors vous l'achetez". Ca m'a refroidi. C'est quand même plus simple quand les bouquins sont pas emballés.
Apparemment, je suis le seul à avoir demandé. Et la réponse c'est "d'accord mais alors vous l'achetez". Ca m'a refroidi. C'est quand même plus simple quand les bouquins sont pas emballés.
ce week end :
y en a un sur la table sous celo, je demande si y en a pas un autre deja ouvert, le libraire me dit que c est le seul qui lui reste et que je peux ouvrir celui la pour voir mais que bon c est plutot un gagdet inutile qui vaut pas 40€.
Apres avoir feuilleté, je me suis dis que preferais acheter 3 ou 4 BD que d avoir ce truc qui ne m en a pas mis plein la tronche, c ets marrant de lire les 'crayonnes' mais ca fait un peu leger pour ce prix et l objet (couverture, papier et bonus) vraiment pas emballé
Je voulais faire un compte rendu rigolo du festival d’Angoulème. C’était une édition réjouissante et le président Lewis avait bien fait les choses. Mes copains avaient beaucoup insisté pour que j’assiste à la remise des prix, en me disant qu’il y aurait une surprise. Et avant de remettre les trophées officiels, Lewis a expliqué dans son micro que comme le dernier chat était sorti trop tard pour être dans la sélection il avait souhaité décerner un prix au meilleur dessinateur du chat du rabbin de l’année. On a alors vu défiler sur l’écran, aux côtés de mon vrai album, des fausses couvertures dessinées par Emile Bravo, David B, Christophe Blain, Emmanuel Guibert, Mathieu Sapin et Riad Sattouf, je vous laisse les découvrir. C’est le genre de couillonnades que j’aurais attendu pour un cadeau d’anniversaire. J’aime bien l’idée que Lewis mobilise toute une salle de conférences pour faire des blagues à ses copains.
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