Message précédent :
voilà, fini.
quelques longueurs dans ce dernier tome de plus de 80 planches, pour une conclusion évidemment attendue, mais qui achève de présenter toutes les pièces du puzzle. Il faudra maintenant que je relise les 3 cycles chronologiquement pour tout remettre dans l'ordre. C'est amusant de constater que du romantisme ésotérique du début de la série (cette guerre des yeux, tout en symbole), nous avons glissé vers une histoire de secrets de famille, du genre qui contamine tous les membres de la famille, même ceux qui n'ont aucune connaissance de ce secret. Sambre est finalement une série psychanalytique teintée de naturalisme social sur les derniers tomes de la série-mère.
On peut toujours se demander si de tels projets de prequels et séries parallèles de série à succès a du sens. Autant certain semble ne vouloir que prolonger le succès alors que l'enjeu y fait cruellement défaut, autant nous avons ici un projet qui complète la série-mère. Sa lecture n'est pas indispensable uaux lecteurs de Sambre, mais elle approte un éclairage intéressant et se révèle tout-à-fait honorable.
), elle reste sa mère adoptive pour lui est est morte de maladie non folle. Comment se fait-il qu'alors Constance dise du médaillon dans Hugo et Iris que c'est ce que sa folle de mère lui a laissé? Pour moi elle sous entend Jeanne sophie de Sambre mais du coup je ne vois pas comment. De même ce sacré médaillon est dit en tome 1 de Wermer et Charlotte avoir été jeté dans la tombe de Maxime or Dans Hugo et Iris, Hugo récupère ce médaillon et pose des questions à son sujet à sa mère Constance; sans doute une erreur/oubli de l'auteur.
... à mon avis, pas avant qqes semaines avant que je lise le triptyque
il s'est passé un truc??
