J'ai dit que c'était un défaut mais que, contrairement à beaucoup d'autres biographies, ça correspondait au personnage. Ce qui manque, c'est un point d'acmé. Dans une bio de Pasteur, par exemple, ce qui importe c'est la grande séquence de la mise au point du vaccin contre la rage. Le reste, tout le monde s'en branle un peu. Dans le cas présent, c'est la vie de quelqu'un qui n'a pas encore laissé sa trace dans l'histoire, et le livre contribue à creuser le sillon. C'est un peu une nobody (pour moi en tout cas). On est plus dans le registre de la Guerre d'Alan.
Faut vraiment que j'ouvre le sujet sur les limites/contraintes de la BD du réel (dans lequel je range volontiers les biographie).
