wamuu a écrit:Petit déterrage de topic, car je suis en plein lecture de ce chef d'oeuvre. J'ai pris l'édition italienne, intégrale en 3 volumes dans son petit coffret, pour un prix très raisonnable. Franchement, c'est un vrai régal. Quel dynamisme dans les planches et quel trait Dire que sur la plupart des pages, on ne s'y attarde que quelques secondes, mais je n'imagine pas le temps que ça a pris pour être dessiné.
Un vrai régal. Foncez !
https://www.bedetheque.com/serie-82929-BD-Gon-en-italien.html
brian sauter a écrit:Cooltrane a écrit:graphiquement c'était époustoufflant
Maintenant question scénar, on frisait une forme de vide...
Absolument pas. L'idée de départ de Gon est profondément originale est plus d'une de ses embrouilles avec d'autres animaux, beaucoup plus gros que lui, sont désopilantes à suivre. Celles avec l'ours, le castor, le lion ou le fauve des montagnes qui a le malheur de s'attaquer à des bébés rapaces copains de Gon ! Le problème c'est que ça tourne vite en rond, au bout de deux tomes, avec des histoires et des péripéties dans la redite, le déjà vu.
HervB a écrit:Autre contrainte : un accès impossible aux planches originales et l'absence de version numérique chez l'éditeur japonais (et souvent, chez l'imprimeur aussi). Pendant très longtemps (ce n'est qu'assez récemment que les éditeurs japonais se sont modernisés du point de vue informatique), les éditeurs japonais étaient très en retard (ou, disons plus gentiment restés très traditionnels) sur l'outil numérique.
Cooltrane a écrit:STP, si tu peux m'expliquer "fonds perdus" en terme de BD/manga (car niveau finance, je pige bien).
Cooltrane a écrit:Loin de moi de ne pas te croire sur parole, mais c'est assez paradoxal, car on s'attendrait plutôt qu'ils (univers du manga) aient eu une ou deux longueurs d'avance sur la FB et les Comics, question d'informatisation. Ne fut-ce que par le rythme de publication et travail de forcené... et répétition des expressions faciales.
STP, si tu peux m'expliquer "fonds perdus" en terme de BD/manga (car niveau finance, je pige bien).
brian sauter a écrit:Quand on voit comment Casterman se moque des lecteurs aujourd'hui, en ne faisant pas de relecture vigilante des albums que cet "éditeur" publie, le cas de conscience de tronçonner des planches n'a jamais dû se poser.
On remarque juste que si le dessinateur dessine complètement dans la marge qui lui est octroyée, parfois il y a une perte du dessin d'une demie marge, en somme comme chez Casterman mais pas à chaque page.
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