cedd79 a écrit:Yep !
La couverture m'a attirée, et le sujet m'avait l'air sympa. Pas rebuté par les dessins, mais complètement par le ton du texte, à la troisième personne.
Nirm a écrit:Faut dire qu'il a eu une vie sexuelle... épanouie on va dire.
Monsieur Jean a écrit:Quatre tomes pour raconter sa vie sexuelle. Dites donc.
Nirm a écrit:nexus4 a écrit:C'est jouable pour une preview ? Pas de sodomie en page 2 ?
J'avais pas vu ton message.
Alors, oui, jusqu'à la page 22. Après, MOELU va crier et rouspéter.
Monsieur Jean a écrit:À Montréal, où Tripp vit une partie de l'année, le lancement se fera dans un club échangiste.
cedd79 a écrit:Yep !
La couverture m'a attirée, et le sujet m'avait l'air sympa. Pas rebuté par les dessins, mais complètement par le ton du texte, à la troisième personne. Les vignettes s'enchainent avec un texte explicatif, l'image n'étant là que pour illustrer. Non, j'ai galéré. La preview m'a suffit. Tant pis pour moi...
Nirm a écrit:Et sinon le bouquin...
nexus4 a écrit:- Suce moi !
- Hein ? Mais ca va bien oui !
- Mais Jean Louis Tripp m'a dit en dédicace que...
- Je t'en foutrais de l'extase, moi. Tu vas me faire le plaisir de te remettre aux Tintin !
- Et mon épanouissement sexuel !?
- M'en fout, va balancer ton machin ailleurs que sous mon nez !
Nirm a écrit:Ah, je lis le 6/09, et comme t'avais l'air de vouloir en parler je me suis dit ...
Bref, visiblement, j'ai encore espéré dans le vent, c'était juste pour nous parler de ta jeunesse et/ou de ta vie sexuelle passionnante.
nexus4 a écrit:- Je t'en foutrais de l'extase, moi. Tu vas me faire le plaisir de te remettre aux Tintin !
Faut dire qu'il a eu une vie sexuelle... épanouie on va dire.
Difficile de ne pas faire autrement au Québec, surtout si on est hétéro
À Montréal, où Tripp vit une partie de l'année, le lancement se fera dans un club échangiste.
Pas trop difficile.... yen a plus que de café/bar/bistro
mais les jeunes québécoises de l'époque (75 à 85) étaient plus "éveillées" que bien des garçons des autres provinces canadiennes... Quand elles jetaient leur dévolu sur toi, t'avais intérêt à assumer et assurer grave, sinon t'étais grillé... et t'en touchais plus une pendant des mois.
C'est bien simple, on partait de Toronto un w-e sur deux pour Montréal (500km aller tout de même) pour aller faire la nouba-houba(hop) avec elles (faut dire aussi que contrairement au reste du Canada, les bars servaient de l'alcool jusquà 5h du mat, au lieu de 1h et on pouvait acheter la bière au magasin du coin, dimanche inclus)... au grand dame des ontariennes qui refusaient trop souvent les galipettes, ou bien restaient vraiment trop classiques/prudes.
Enfin bref, tout cela pour dire que ce n'est pas exagéré de considérer La Belle province comme un point particulièrement libertin sur notre planète bleue.
Pas juste la mienne, mais celle de dizaine de milliers de jeunes canadiens anglophone: cela venait même des provinces à l'Est du Québec pour faire la fête à Montréal entre 70 et 90
Bon, cela ne s'est pas toujours bien passé, car il y avait la crise de l'indépendance entre 76 et 80, alors que les finances de la ville étaient au plus bas (avec l'organisation des JO en 76) et l'exode des industries de Montréal vers Toronto (avec 200 000 travailleurs et leur famille). Bref, des accrochages pouvaient arriver, surtout qd on marchait sur les plate-bandes des locaux.
grimmy a écrit:Moi, je l'ai lu le bouquin. A priori, le sujet ne m'emballait pas des masses. Eh bien je peux vous assurer que c'est formidable. Drôle, rythmé, bien écrit, touchant. On passe un très très bon moment ! Je pense que ce livre va cartonner !
soulman a écrit:je pensais l'acheter lors d'une séance de dédicace mais finalement la preview m'aura amplement suffit et puis une séance au tampon , non merci ...
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