Charlus a écrit:Il n'y avait déjà rien contre l'Islande.
A la coupe du monde, contrairement à ce qui est dit, un peu par simplification, l'EdF avait un vrai fond de jeu, basé sur le pressing et cette très à la mode "transition" de jeu (passage d'une situation défensive à offensive ou l'inverse). Et une maîtrise du contre qui nécessite une vraie science de la passe et du déplacement (en combiné).
Alors peut-être que je le fais à tort, mais moi j'appelle ça un vrai fond de jeu, avec une identité et un savoir faire associé.
Contre l'Islande, pfffff, on a rien vu de mieux dans le jeu que le néant qu'on a vu vendredi.
Au final, on a tapé les oranges quand on surfait sur la vague et que eux n'étaient encore qu'au début de leur reconstruction, et les Allemands en pleine déconfiture sur une mi-temps. Ce qu'on a vu vendredi, finalement la seule surprise, c'est de voir les Pays-Bas aussi vite remis.
C'est fou de finir avec cette incertitude alors qu'on avait des adversaires au fond du trou pendant que nous étions en plein euphorie...
Pour moi et je le disais, mais c'est surtout avant et après la CDM qu'on avait pas de fond de jeu... Finalement cette coupe est arrivée au bon moment, on ne va pas s'en plaindre.
Et je trouve que c'est plus que de l'incertitude, jamais on passera.. L'Allemagne, nous rendre service ?
Non les Pays-Bas vont les ba*ser, et j'aimerais me tromper, mais là...

"Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi".