David C a écrit:Le type qui note LA faute qui reste dans un album ignore totalement les 157 qui ont été vues et corrigées avant impression.
C'est surtout ça qui pose problème, à mon avis. Quand un texte est mal rédigé au départ et/ou est bourré de fautes, c'est très difficile de faire en sorte que rien ne passe à travers les mailles du filet (je le sais d'expérience, pour travailler dans le milieu de la traduction et donc m'occuper chaque jour de textes qui seront publiés à une plus ou moins grande échelle selon les cas). Ce qui peut surprendre, par contre, c'est que des gens dont le métier est d'écrire des livres ou tout autre document à publier aient une piètre maîtrise de l'orthographe.
David C a écrit:Il y a des raisons pour lesquelles elle a échappés à l'ensemble des relectures, cette planche ayant fait l'objet de retouches à part, qui l'ont exclue du document final de relecture... Pas de chance, c'est tombée sur la mauvaise planche... Shit happens...
Là, sur le coup, quand même, un petit problème d'organisation, non ? Cela dit, je conçois parfaitement que des retouches doivent être faites parallèlement au niveau du dessin et du texte et que ça puisse engendrer une certaine confusion. Quoi qu'il en soit, une coquille dans un livre, ça arrive et ça arrivera toujours. C'est moins excusable quand le livre en est perclus, ce qui ne semble pas être le cas ici.
L'usage de l'anglais peut aussi poser problème. Parfois, c'est juste une coquille comme il s'en produirait en français, mais parfois, c'est un auteur/éditeur/... qui s'est piqué d'écrire en anglais alors qu'il en est manifestement incapable (j'ai souvenir d'une horreur dans
Prométhée...).