DEMANDE DE COTE, COTATION ....C'EST ICI II

[AMAURY-G]

Message précédent :
Hello,

j'ai une question en sens inverse.

Quel serait le prix "honnête" à payer pour Les petites femmes de Seron, tome 4 "MESSIE" et 6 "VDQS" ?
Une bonne affaire serait en dessous de 20 euros ?

Même chose pour Jeronimus Tome 3 ?

merci

[han_solo]

J'ai pas de soucis sur le services rendus par le libraire mais :
Le bdm est acheté par les amateurs et collectionneurs pas seulement par les libraires
1/3 de decote pour un achat de particulier a particulier , je vois qui acceptera ce principe
sur le net, la cote reste bdm reste la reference du vendeur et de l'acheteur pour se faire un idee du juste prix.
idem pour l'estimation de la valeur d'une collection.

Je trouve le principe de base curieux. On cote la valeur de l'objet pas la marge que ce fait ou pas l'intermédiaire sur la base d'un service rendu.

C’est pourtant un point bien connu : il est évident que l’on ne peut pas s’attendre au même prix lorsqu’on achète un album chez un libraire ou auprès d’un particulier.
Chez un professionnel, on peut feuilleter l’album, on bénéficie de la garantie qu’il ne s’agit pas d’une contrefaçon et l’on dispose de recours simples en cas de non-conformité.
Un achat auprès d’un particulier, en revanche, ne présente pas ces assurances.

[han_solo]

Si on exclut le fond historique, le cote d'une BD récente ne repose pas ni sur une qualité supérieure ni forcément sur la rareté (par rapport à d'autres tirages)... donc c'est purement de l'offre et la demande. Et quand la demande est servie, il n'y a plus de marché (la cote devrait s'effondrer mais ce n'est pas le cas).

C'est la même chose pour le "marché" des DVD/Blu Ray même rares.
Certains pensent qu'ils vont pouvoir vendre leur DVD a tirage hyper limité au prix qui a été pratiqué recemment.
Or fréquemment une fois le public cible "comblé" le DVD ne trouvera pas preneur parce que les personnes potentiellement interessés sont relativement peu nombreuses.

[EYE OF DOOM]

J'ai pas de soucis sur le services rendus par le libraire mais :
Le bdm est acheté par les amateurs et collectionneurs pas seulement par les libraires
1/3 de decote pour un achat de particulier a particulier , je vois qui acceptera ce principe
sur le net, la cote reste bdm reste la reference du vendeur et de l'acheteur pour se faire un idee du juste prix.
idem pour l'estimation de la valeur d'une collection.

Je trouve le principe de base curieux. On cote la valeur de l'objet pas la marge que ce fait ou pas l'intermédiaire sur la base d'un service rendu.

C’est pourtant un point bien connu : il est évident que l’on ne peut pas s’attendre au même prix lorsqu’on achète un album chez un libraire ou auprès d’un particulier.
Chez un professionnel, on peut feuilleter l’album, on bénéficie de la garantie qu’il ne s’agit pas d’une contrefaçon et l’on dispose de recours simples en cas de non-conformité.
Un achat auprès d’un particulier, en revanche, ne présente pas ces assurances.

Il ne s'agit pas de contester la différence de prix "de principe" entre l'achat chez un particulier et un libraire , mais le fait que du coup on ne sait pas ce que vaut la bd "en soit". Un livre de cotation de reference devrait donner une estimation de la valeur intrinsèque de l'objet. Apres si on l'achete au vide grenier du coin, chez un libraire rue dante a paris, ou chez Heritage, on sait que l'on vas payer des frais en plus, variables, selon le "business model" et le "service rendu" de la personne ou le professionnel qui vend.

[han_solo]

Ça résulte simplement d un choix des auteurs du BDM.
Ils auraient tout aussi bien ou proposer une cote "particulier" a laquelle les pro auraient ajouté un %

Ils ont fait le choix inverse ...