sep a écrit:Il faut quand même bien prendre en compte que des mauvaises expériences, il y en a eu un paquet, plus ou moins importantes, mais accumulées ça enlevait le charme d'aller en librairie, repartir agacé ou énervé presque une fois sur deux, ce n'est pas ma conception des relations vendeur/client. Ca fait plusieurs années que je n'y suis pas retourné.
Je travaille dans une librairie et je comprends tout à fait ce que tu veux dire.
Travailler à maintenir une relation démocratique et égalitaire avec tous ses clients, c' est assez complexe, comme le degré de familiarité. La disponibilité, le temps (sans aller jusqu' à être trop bavard, je connais des clients qui ont quitté des librairies pour cette simple raison), la pertinence, la courtoisie, la souplesse pour d' éventuels échanges, ça peut varier selon le moment, le vendeur, sa charge de travail, et le nombre de personnes présentes, clients, touristes, visiteurs, qui ont parfois des attentes très différentes.
Mais si tu as trouvé ton bonheur ailleurs et que ça ne t' a pas dégoûté de ce loisir, c' est le principal.
