NARCISSE a écrit:Il est préférable de pas parler alors de sa manière de traiter les albums quand il gérait Dupuis dans les années 80... c est a lui qu on doit une pénurie de pleins de séries de chez dupuis
en même temps si largo winch n était pas un capitaliste humaniste la bd aurait pas eu le succès qu elle a... ; Van hamme est suffisamment malin pour comprendre ça.
yodada a écrit:Je déteste cet auteur, mettrais pas un sous dans ces BD
kilfou a écrit:Quand Van hamme est arrivé chez Dupuis en tant que directeur éditorial (je crois), il a envoyé au pilon des milliers d'albums invendus, ce que Dupuis ne faisait pas par conviction auparavant.
D'où une réputation de tueur de série et de mec pas attaché aux bouquins si ils marchent pas.
Pour en revenir à Baru, c'est quand même vachement bien ce qu'il fait, très social et terriblement humain. Il a son franc-parler, pas moyen d'être tiède avec lui, c'est un rouge.
Pauvres Z'héros donne une bien pière image des Vosges, c'est pourtant un polar franchement bien foutu.
l'autoroute du soleil, c'est très fort aussi dans le genre road-movie / thriller.
kilfou a écrit:Quand Van hamme est arrivé chez Dupuis en tant que directeur éditorial (je crois), il a envoyé au pilon des milliers d'albums invendus, ce que Dupuis ne faisait pas par conviction auparavant.
D'où une réputation de tueur de série et de mec pas attaché aux bouquins si ils marchent pas.
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toine74 a écrit:kilfou a écrit:Quand Van hamme est arrivé chez Dupuis en tant que directeur éditorial (je crois), il a envoyé au pilon des milliers d'albums invendus, ce que Dupuis ne faisait pas par conviction auparavant.
D'où une réputation de tueur de série et de mec pas attaché aux bouquins si ils marchent pas.
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C'était plutôt des millions d'albums invendus qui dormaient dans un hangar. Van Hamme, en gestionnaire, a simplement pris une décision logique : virer des stocks inutiles qui coûtaient beaucoup à l'entreprise. De plus, tous les albums n'ont pas été pilonnés. Les auteurs ont été invités à "récupérer" à prix coûtants leurs bébés et une autre partie s'est retrouvé dans les marchés parallèles (soldeurs et cie).
La réputation de tueur de série est un peu usurpée, Van Hamme s'est en fait "débarrassé" de titres qui étaient déjà morts.
Alexander a écrit:spionkop a écrit:DE TOUTE FACON TOUT CE QUE FAIT BARU EST BON!
... Et il ne faudrait pas que celui-ci passe inaperçu
Une histoire dure qui parle de crise, de luttes sociales à St-Nazaire, de guerre d’Algérie, d’immigrés italiens et algériens, de leurs enfants, de leurs relations, de personnes écorchées. Thèmes sociétaux donc.
Sur la forme, on retrouve la rapidité, les ellipses (les premières pages), l’efficacité du découpage…
Et même si le dessin ne m’a pas toujours convaincu au niveau des personnages (la rigueur et la nervosité de Baru m’ont manqué), il y a de magnifiques planches (à St-Nazaire entre autres), et le bouquin laisse bien ce goût amer post lecture, marque de ce grand auteur.
le communiqué de la maison d'édition Les rêveurs :
Sur la route encore se présente comme un recueil de six histoires indépendantes parues à l’origine dans le mensuel (A Suivre) entre 1996 et 1997.
Au fil de la lecture, chacun de ces six chapitres déroule un récit à suivre. Un mouvement permanent emporte les deux narrateurs principaux Edith et André qui s’embarquent chacun dans un road movie en traversant la France pour mieux se retrouver sur l’île de Groix dans un final plein de rebondissements.
Baru puise dans le roman policier pour immiscer de l’intrigue et du suspense au fil de son On the Road à lui et convoque une Amérique mythifiée pour claquer une bande originale rock qu’il distille dès sa première histoire « Calypso Rock » avec Satisfaction, That’s all right ou Mystery Train. Le ton est donné, le rythme aussi. Sur la route encore.
Cabarezalonzo a écrit:Retournes-y un peu plus tard, chez ton dealer.
Des fois qu'un type bourré de viagra ou qui aurait avalé une tisane au ginseng serait passé dans la boutique, il se pourrait que la chose ait été déflorée...
heliogabalus a écrit:En espérant que cette fois ci il ne manque pas de planche, comme dans « Ici et là ».
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