tofre a écrit:Les pilules bleues sont indisponibles car Peeters a retravaillé les couleurs pour une nouvelle édition à la rentrée (de mémoire 10 planches inédites supplémentaires ou retravaillées).
Ayé retrouvé ou j'ai lu ça...
http://projet-aama.blogspot.fr/2013/06/ ... -tard.html
En résumé, si vous souhaitez soutenir Atrabile achetez la nouvelle édition qui arrive, les exemplaires que vous trouverez sur le net ou même en librairie ne feront pas rentrer un centime dans les caisses de l'éditeur.
Si vous souhaitez soutenir Atrabile n'hésitez pas à aller chez votre libraire, mieux, à lui faire commander un exemplaire qu'il n'a pas en stock, là c'est une vente "utile" car en plus pour l'éditeur (vider le stock de btazone ou fnouc n'apporte rien à celui-ci).
La Terre a disparu ! C’est la triste vision dont est témoin Cosmo depuis le satellite où il est posté. Pourtant, peu après, la Terre semble avoir réapparu. Faux espoir : c’est autre chose qui a fait son apparition, et les instruments de mesure sont aussi formels que les résultats incohérents. La planète qui est désormais là, à la place de la Terre, est à la fois ronde et plate, solide et gazeuse… Précédé d’une mystérieuse cosmonaute, et en compagnie de Céphalée, ordinateur humanoïde, Cosmo va se poser sur cette énigmatique planète, pour s’embarquer dans une odyssée absurde, à la rencontre de créatures improbables dans des situations pleines de non-sens, tout ça sur une planète tout bonnement impossible. Dans un univers où irrationnel et incohérence font lois, où une action donnée ne provoque jamais la réaction escomptée, où la folie semble perpétuellement mener la bal, on devine aisément que Cosmo et ses acolytes de fortune n’auront pas la tâche facile, puisqu’il s’agit, tout de même, de sauver la Terre. L’humour de Joseph Callioni est aussi ravageur que son trait est fin, et de franches idioties en purs moments de folie, il lui faudra l’agilité d’un acrobate surdoué pour que tout ça, comme par magie, retombe sur ses pattes.
nexus4 a écrit:Tu veux dire que tu as lu les pilules et que tu n'as pas aimé ?
nexus4 a écrit:Tu veux dire que tu as lu les pilules et que tu n'as pas aimé ?
rahoul a écrit:Cette Cati ,centre d' intérêt de l' auteur, n' avait pas assez d' épaisseur.( la faute aussi au dessin, elle aurait aussi bien pu être un mec ).
Croaa a écrit:Par contre j'ai du mal à voir pourquoi l'histoire serait dépassée à notre époque. C'est toujours un sujet d'actualité.
Croaa a écrit:Oui, je suis assez d'accord avec toi. Je ne suis pas pur que les mentalités aient tant évolué, ou alors seulement en façade et tant que cela reste chez les autres. C'est juste un peu tombé dans l'oubli.
C'est un livre que j'offre assez régulièrement à des personnes qui ne sont pas forcément attirées par la BD. Je n'ai jamais eu de retour dans le sens évoqué plus haut. Après chacun à sa perception du sujet en fonction de son vécu ou de sa sensibilité.
edgarmint a écrit:...
Elle est où la 4ème saison de cette joyeuse série, tant espérée par au moins moi ? Comme ça fait un bail ( ), je vous mets le blabla de l'éditeur himself, ce sera mieux que mes souvenirs lointains :
C’est avec un plaisir jouissif que l’on découvre la comédie sentimentale à laquelle se livrent les personnages de Plus ou moins… Le Printemps : Marie l’ingénue, Véra l’experte, Joao le tombeur ou Josie le travesti, autant de figures attachantes dont la vie affective se croise et se décroise tout au long de cet ouvrage frais, drôle et provocant. Sans vulgarité mais avec un rentre-dedans salvateur et des dialogues qui claquent, Peggy Adam parle sans détour et avec un enthousiasme communicatif d’amour et de sexe, tout en dressant en filigrane un constat mordant sur le statut de la femme dans notre bonne vieille société occidentale…
Quelque part, dans un monde qui pourrait être le nôtre, dans un environnement d'où se dégage quelque chose de sauvage et d'insoumis, des hommes et des femmes s'affairent autour d'étranges constructions. à travers les visions de ces bâtisseurs se dessinent alors le portrait d'une société, qui, sans doute, a connu le béton, la pollution, l'électronique avant un changement que l'on devine radical. Mais entre l'homme d'hier et celui d'aujourd'hui semble survivre une même envie, une même nécessité, celle de construire. C'est cette étrange envie, celle de bâtir, de créer, que questionne le livre de Yannis La Macchia ainsi que la place même de celui qui construit, ce fameux bâtisseur. Le livre brasse et aborde des thèmes et une imagerie qui évoquent des problèmes bien actuels liés à l'écologie, à la mondialisation, au progrès. Des Bâtisseurs est un livre profondément singulier, un livre qui bouscule le lecteur et la notion de récit, un livre qui s'attache à questionner l'idée de création, sa place et son importance dans notre monde ; c'est aussi un livre dont l'amour du dessin, de l'acte de dessiner même transparaît à chaque page, par un auteur complètement dévoué à son medium. Yannis La Macchia est membre fondateur du collectif Hécatombe, où il a publié la plus grande partie de son œuvre. Des Bâtisseurs est son premier livre chez Atrabile.
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