Et fini les longues queues pour les dédicaces! A 15h00 ça s'arrête! Personne le mercredi jour des enfants et vendredi, toutes et tousse en télétravail inclusif! ( le jeudi aussi)

Thierry_2 a écrit:rahoul a écrit:Rien à voir. La démarche ici n'est pas d'écarter des hommes ou des femmes.
A la rigueur on peut inventer le terme " girl quote " pour mettre à l'honneur des autrices pour qu'elles ne soient pas invisibilisées.
la pertinence de "girlcott" vient du fait que les autrices ont joué un rôle moteur dans la fronde, l'engagement d'Anouk Ricard n'étant que la partie émergée de li'ceberg. Cela fait un moment que la colère gronde, mais il faut reconnaître que ce sont les questions féminstes, et l'electrochoc de l'affaire "Chloé" qui ont définitivement mis le feu aux poudres.

toque a écrit:nexus4 a écrit:Bon, c'est mort, auteurs et grands éditeurs maintiennent qu'ils ne viendront pas.Le festival d’Angoulême n’aura pas lieu en 2026. Cette fois, c’est plié. Violemment secoué depuis une semaine, le château de cartes a fini par s’effondrer dans la journée de mardi. Prenant acte du refus des autrices et des auteurs de céder une once de terrain sur la question du boycott de l’édition prévue fin janvier, les maisons d’édition n’ont eu d’autre choix que de s’aligner sur la position des artistes. Personne ne se rendra donc à Angoulême en janvier.
https://www.liberation.fr/culture/bd/le ... TWYQWO3HM/
Démenti par le festival dans ouest-france.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
L’organisation du Festival est à l’écoute des parties prenantes de l’événement et des communications que celles-ci produisent depuis plusieurs jours.
Elle sait par ailleurs que les financeurs publics de la manifestation sont en permanence dans le dialogue avec les représentants de différentes instances représentatives de ces mêmes acteurs, les syndicats d’autrices et d’auteurs et d’éditeurs et que des réunions sont fixées avec eux dans la semaine.
Elle formule l’espérance que les discussions en cours pourront permettre de trouver une solution afin que se tienne l’édition 2026, dans l’intérêt même de l’écosystème de la bande dessinée et par respect pour un public de passionné·e·s de cette forme unique de lecture, public qu’elle a toujours su intéresser au cours de son demi-siècle d’existence.
Pour l’heure, s’étant exprimée et ayant agi pour faciliter la mise en place de solutions afin de préserver l’intégrité et la pérennité de l’événement, l’organisation du Festival est en attente des évolutions qui peuvent intervenir et reste elle-même ouverte à toute forme d’échanges.

logan1973 a écrit:Thierry_2 a écrit:rahoul a écrit:Rien à voir. La démarche ici n'est pas d'écarter des hommes ou des femmes.
A la rigueur on peut inventer le terme " girl quote " pour mettre à l'honneur des autrices pour qu'elles ne soient pas invisibilisées.
la pertinence de "girlcott" vient du fait que les autrices ont joué un rôle moteur dans la fronde, l'engagement d'Anouk Ricard n'étant que la partie émergée de li'ceberg. Cela fait un moment que la colère gronde, mais il faut reconnaître que ce sont les questions féminstes, et l'electrochoc de l'affaire "Chloé" qui ont définitivement mis le feu aux poudres.
La pertinence elle est non existante un boycott ça s'appelle un boycott parce que c'est le nom d'une personne qui a incarné le concept.

Thierry_2 a écrit:Darth a écrit:icecool a écrit:Pensez à mettre Girlcott plus que boycott : beaucoup de combats et revendications des autrices, affaire « Chloé on te croit », place des femmes dans les Grands Prix et expositions, etc. Tout ou presque en émane.
Il faut donc faire 3 festivals : M / F / X
cela dit, je me suis demander d'où venait le mot "boycott". Il s'agit en fait du nom de Charles Cunningham Boycott (1832-1897), un riche propriétaire terrien qui traitait mal les fermiers qui travaillaient sur ses terres. En conséquence, ces derniers lui ont imposé un blocus.
non que cela enlève de la pertinence au terme de "girlcott", mais je me demandais


Thierry_2 a écrit:Thierry_2 a écrit:Darth a écrit:icecool a écrit:Pensez à mettre Girlcott plus que boycott : beaucoup de combats et revendications des autrices, affaire « Chloé on te croit », place des femmes dans les Grands Prix et expositions, etc. Tout ou presque en émane.
Il faut donc faire 3 festivals : M / F / X
cela dit, je me suis demander d'où venait le mot "boycott". Il s'agit en fait du nom de Charles Cunningham Boycott (1832-1897), un riche propriétaire terrien qui traitait mal les fermiers qui travaillaient sur ses terres. En conséquence, ces derniers lui ont imposé un blocus.
non que cela enlève de la pertinence au terme de "girlcott", mais je me demandais
c'est bien ce que je disais plus bas

Communiqué de presse – SNE
Les éditeurs de Bande Dessinée du Syndicat national de l’édition saluent les avancées majeures proposées par les pouvoirs publics pour une réforme historique de la gouvernance du festival international de la Bande dessinée d’Angoulême.
Ils accueillent positivement le fait que toutes les parties prenantes (autrices et auteurs, maisons d’édition et pouvoirs publics) puissent se retrouver au sein de l’ADBDA (Association pour le Développement de la BD à Angoulême) afin de piloter la prochaine mise en concurrence qui désignera le nouvel organisateur du festival.
Ils prennent acte du retrait immédiat de Franck Bondoux et du fait que le siège réservé au FIBD au sein de cette nouvelle gouvernance ne sera pas occupé par Delphine Groux.
Parmi les attentes et revendications, les éditeurs du groupe BD seront particulièrement vigilants quant à la mise en place de mesures fortes pour lutter contre les VHSS. Ils seront également attentifs à la méthode de mise en oeuvre du prochain appel à concurrence ainsi qu’à la réforme des statuts de l’ADBDA.
Ils entendent la position des syndicats d’autrices et d’auteurs, le manifeste des 285 autrices, l’appel des grands prix, à ne pas se rendre à l’édition 2026. Compte tenu de ce mouvement de grande ampleur qu’ils comprennent, les éditeurs estiment que l’édition 2026 ne pourra plus se tenir.
Ils appellent à un apaisement attendu par tous et participeront au renouveau engagé par les pouvoirs publics pour construire le festival de demain dès 2027, et contribuer à faire rayonner la bande dessinée en France et à l’étranger.


euh... si vous le dites a écrit:logan1973 a écrit:Thierry_2 a écrit:rahoul a écrit:Rien à voir. La démarche ici n'est pas d'écarter des hommes ou des femmes.
A la rigueur on peut inventer le terme " girl quote " pour mettre à l'honneur des autrices pour qu'elles ne soient pas invisibilisées.
la pertinence de "girlcott" vient du fait que les autrices ont joué un rôle moteur dans la fronde, l'engagement d'Anouk Ricard n'étant que la partie émergée de li'ceberg. Cela fait un moment que la colère gronde, mais il faut reconnaître que ce sont les questions féminstes, et l'electrochoc de l'affaire "Chloé" qui ont définitivement mis le feu aux poudres.
La pertinence elle est non existante un boycott ça s'appelle un boycott parce que c'est le nom d'une personne qui a incarné le concept.
C'est pas parce que boycott vient de Monsieur Boycott que ça enlève la pertinence de créer le mot girlcott.


nexus4 a écrit:Je voulais juste remercier DarkSolo pour son intervention, qui est lue, et dire qu'il n'a pas passé du temps à nous expliquer son point de vue local pour au final avoir l'impression d'avoir pissé dans un violon, entre deux questions grammaticales de la plus haute importance.
![Bravo [:flocon:2]](./images/smilies/flocon2.gif)


nexus4 a écrit:Je voulais juste remercier DarkSolo pour son intervention, qui est lue, et dire qu'il n'a pas passé du temps à nous expliquer son point de vue local pour au final avoir l'impression d'avoir pissé dans un violon, entre deux questions grammaticales de la plus haute importance.

nexus4 a écrit:Je voulais juste remercier DarkSolo pour son intervention, qui est lue, et dire qu'il n'a pas passé du temps à nous expliquer son point de vue local pour au final avoir l'impression d'avoir pissé dans un violon, entre deux questions grammaticales de la plus haute importance.



toque a écrit:nexus4 a écrit:Je voulais juste remercier DarkSolo pour son intervention, qui est lue, et dire qu'il n'a pas passé du temps à nous expliquer son point de vue local pour au final avoir l'impression d'avoir pissé dans un violon, entre deux questions grammaticales de la plus haute importance.
+1. Super intervention

toque a écrit:nexus4 a écrit:Je voulais juste remercier DarkSolo pour son intervention, qui est lue, et dire qu'il n'a pas passé du temps à nous expliquer son point de vue local pour au final avoir l'impression d'avoir pissé dans un violon, entre deux questions grammaticales de la plus haute importance.
+1. Super intervention

Pouffy a écrit:Bordeaux à l'affut



Contacté dans la nuit par Libération, l’un des deux directeurs artistiques du FIBD, Fausto Fasulo, prenait acte de la situation d’impasse :
«L’horizon n’a jamais semblé aussi apocalyptique.
Le festival a beau avoir le cuir dur, cette annulation de l’édition 2026 pourrait bien signifier sa disparition définitive.»


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