Morti a écrit:...
Alors je n'ai pas vérifié la période la plus "généreuse" dans vos choix mais il me semble que le cinéma "d'avant" a quand même pas mal de perles et que chacun peut y trouver son compte.
Aujourd'hui j'ai plus de mal à sortir des petits bijoux du lot de la (sur)production d'avant Covid.
Alors c'était mieux avant ???
Je vous laisse juger...
toine74 a écrit:Non, évidemment. C'est une tendance (ou un biais) bien humain que de se retourner en arrière pour se dire que c'était mieux avant. On oublie l'effet filtrage du temps qui passe et s'entasse et qui ne laisse surnager que le meilleur, alors que la quantité de daubes oubliées (à juste titre) est phénomémanal. Le regard et le ressenti est tout différent avec la production du moment (ou toute récente) puisqu'on a encore en tête toutes les bouses qu'on a dues subir. + l'effet nostalgie qui est parfois trompeur.
toine74 a écrit:Non, évidemment. C'est une tendance (ou un biais) bien humain que de se retourner en arrière pour se dire que c'était mieux avant. On oublie l'effet filtrage du temps qui passe et s'entasse et qui ne laisse surnager que le meilleur, alors que la quantité de daubes oubliées (à juste titre) est phénomémanal. Le regard et le ressenti est tout différent avec la production du moment (ou toute récente) puisqu'on a encore en tête toutes les bouses qu'on a dues subir. + l'effet nostalgie qui est parfois trompeur.
thyuig a écrit:Une liste à l'arrache où il manque tous les classiques et tout les cinémas français et italiens.
Eternal Sunshine of the Spotless Mind - Michel Gondry
Yiyi - Edward Yang
In The Mood for Love - Wong Kar-Wai
Shara - Noami Kawase
Dead Man - Jim Jarmusch
Underground (Version longue) - Emir Kusturica
Un temps pour vivre, un temps pour mourir - Hou Hsiao Hsien
Three times - Hou Hsiao Hsien
Ghost Dog - Jim Jarmusch
A la verticale de l'été - Tran Anh Hung
There will be blood - Paul Thomas Anderson
The Yards - James Gray
Mulholland Drive - David Lynch
Mystic River - Clint Eastwood
Pulp Fiction - Quentin Tarantino
Casino - Martin Scorsese
No Country for Old Men - Joel Coen
Be Kind Rewind - Gondry
Chihiro - Hayao Miyazaki
The Taste of tea - Katsuhito Ishii
kobaia a écrit:C’est fou mais dans vos listes je retrouve des films que j’aurais pu mettre.
Il faut un sujet sur les livres pour comparer les goûts en littérature et voir si le consensus sur le cinéma se retrouve en littérature.
euh... si vous le dites a écrit:Jamais compris l'intérêt que l'on pouvait trouver aux films d'Oliver Stone.
Pour ma part, je les trouve insupportablement mauvais.
Cooltrane a écrit:
Platoon est quand même d'assez loin le meilleur film sur le Vietnam (Apocalypse Now et Deer Hunter sont distancés, Full Metal Jacket aussi)
euh... si vous le dites a écrit:Cooltrane a écrit:
Platoon est quand même d'assez loin le meilleur film sur le Vietnam (Apocalypse Now et Deer Hunter sont distancés, Full Metal Jacket aussi)
Je déteste Platoon.
Willem Dafoe qui meurt longuement au ralenti dans une pose christique au son de l'Adagio pour cordes de Samuel Barber, je crois que c'est le truc le plus détestable que j'aie jamais vu au cinéma.
Je hais ce film.
euh... si vous le dites a écrit:Jamais compris l'intérêt que l'on pouvait trouver aux films d'Oliver Stone.
Pour ma part, je les trouve insupportablement mauvais.
euh... si vous le dites a écrit:Cooltrane a écrit:
Platoon est quand même d'assez loin le meilleur film sur le Vietnam (Apocalypse Now et Deer Hunter sont distancés, Full Metal Jacket aussi)
Je déteste Platoon.
Willem Dafoe qui meurt longuement au ralenti dans une pose christique au son de l'Adagio pour cordes de Samuel Barber, je crois que c'est le truc le plus détestable que j'aie jamais vu au cinéma.
Arthur Pinson a écrit:
A l'inverse l'une des scènes les plus fortes de The deer hunter est celle du retour de Robert de Niro, où il ne se rend pas à la fête en son honneur et se réfugie dans la chambre d'un motel. D'abord en silence puis avec la simple Cavatina de Michael Meyers, il tourne en rond, cherche à pleurer et n'y parvient pas. Un grand moment, où le spectateur vit le traumatisme du personnage sans qu'aucun mot soit prononcé. On résume trop souvent ce film aux scènes de roulette russe alors que les plus belles sont celles plus intimistes aux États-Unis où les choses sont ressenties sans avoir besoin d'explications.
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