En 1643, saint Vincent de Paul était le père Vincent, un prêtre exceptionnel qui battait le pavé de Paris pour aider les plus démunis. Lorsqu'un de ses protégés, Jérôme, se fait assassiner, il décide alors de mener l'enquête. Ses actes de charité et son ouverture d'esprit lui permettent d'interroger tant les marauds que les grands de ce monde. Avec ce one-shot intitulé Vincent, Dufaux signe un scénario original autour du patron des oeuvre charitables, selon les dessins incroyable d'un Paris du XVIIe de Jamar.
J'ai souligné la dernière ligne du communiqué de presse, qui n'ait pas un euphémisme : comme les lecteurs de la prépublication dans L'Immmanquable ont pu s'en rendre compte, les décors sont exceptionnels - et le scénario très bon - ; je n'ai jamais vu que ceux de Juillard (période 7 Vies de l'épervier) pour être de ce calibre, c'est peu dire...
Le travail effectué sur cette "simple case" vous donnera une idée du niveau :
Autre décor en couleurs :