Farid Tawill vit à Beyrouth. Un soir, en rentrant du bureau, il découvre que son immeuble a disparu et que la cité où il est né n'est plus la même. D'étranges créatures hantent les rues : propagandiste verbeux et manipulateur, foules hystériques tueuses de chiens, etc. Il se réfugie chez son ami Emile. A mesure que la nuit avance, les remords, les espérances et les échecs du passé hantent Farid.
Sebi a écrit:Merci pour la découverte, encore une nouvelle BD à feuilleterFarid Tawill vit à Beyrouth. Un soir, en rentrant du bureau, il découvre que son immeuble a disparu et que la cité où il est né n'est plus la même. D'étranges créatures hantent les rues : propagandiste verbeux et manipulateur, foules hystériques tueuses de chiens, etc. Il se réfugie chez son ami Emile. A mesure que la nuit avance, les remords, les espérances et les échecs du passé hantent Farid.
Nirm a écrit:Je crée la fiche dès que j'ai 10 min pour faire les scans.
Et voila :
(289976 Sebi, si tu veux mettre la fiche dans l'OP).
Sebi a écrit:Nirm a écrit:Je crée la fiche dès que j'ai 10 min pour faire les scans.
Et voila :
(289976 Sebi, si tu veux mettre la fiche dans l'OP).
Thanks, mais c'est au Tapir de modifier cela
Bon en tout cas BD achetée et lue pour ma part
Ça se lit assez vite, mais il y a des choses intéressantes à retenir et j'apprécie vraiment le dessin. Une relecture s'impose.
Olaf Le Bou a écrit:Drapeautage
nexus4 a écrit:Alors attention, le dessin ne fait pas tout. Ca a qd meme l'air bien barré. J'ai été refroidi par le dernière planche de la preview. Je vais attendre plus d'avis.
nexus4 a écrit:Ca a qd meme l'air bien barré.
Nirm a écrit:nexus4 a écrit:Ca a qd meme l'air bien barré.
Ça en a aussi la musique.
Alexander a écrit:Le mec il est inconnu des radars, il pond un premier album. Un pinceau léger et précis. Une pure maitrise du lavis de la perspective des mouvements des ombres des lumières des corps des trognes des ambiances de l’urbanité de la nuit…
Graphiquement c’est une tuerie. Un génie est révélé.
Seule critique, la maquette, avec son affreux bandeau noir en hauteur et son titre à 90°, je n’ai jamais supporté ces titres à 90° moches et illisibles…
Le récit est une plongée cauchemardesque[Révéler] Spoiler:dans le quotidien d’un artiste habitant Beyrouth, comme une décompensation schizo liée à une vie de couple routinière jusqu’à l’insupportable, à la destruction de la ville, aux engagements politiques, à la maîtresse qu’il a aimée, la reconstruction, l’occidentalisation, les amis disparus, tout ça nourrit une parabole surréaliste grave et lucide prenant vraisemblablement racine dans le trauma de la guerre des années 80...
J'ai adoré, le genre d'ovni auquel tu repenses malgré toi, après bien sur c’est le genre de truc si bizarre que tu peux difficilement prendre le risque de le recommander et moins encore de l’offrir, sous peine d'être étiqueté "space".
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