bone a écrit:Je confirme les dires de jopo de Pojo
sur l'EO, pas de décalage
Jopo de Pojo a écrit: Un des trois chefs d'oeuvre de la ligne claire, à mon humble avis...
Aucun problème sur mon eo ; en revanche, j'avais acheté la réédition Casterman classiques (n° d'impression 38444 au dessus de l'ISBN et du code-barres) dans un festival pour la faire dédicacer par Ted Benoit (n'ayant pas pris l'eo avec moi) et en effet, cet exemplaire présente le défaut (décalage ponctuel, heureusement) soulevé par Samdelgado.Samdelgado a écrit:Pas de problème! Il y aurait donc toute le réedition de Casterman qui serait comme ça?
Jopo de Pojo a écrit:En fait, c'est moins un hommage à la ligne claire (même si les allusions à Hergé sont évidentes : Ray Banana sur la corniche d'un building, les boites de conserve, et même Tintin qui joue les figurants dans une case...) qu'aux films noirs américains. Un personnage semble d'aileurs inspiré de Joe E. Brown (le milliardaire de "Certains l'aiment chaud"). Et le dernier chapitre est très nourri de "La Mort aux trousses".
Etant peu cinéphile, je ne repère pas les clins d'oeil directs, mais ils doivent être légion. Si certains ont des lumières à ce sujet...
Rebecca Doppelmeyer a écrit:J'aime beaucoup cet album.
(Et j'ai un attachement particulier pour Hopital, un album qui me semble sous-estimé.)Jopo de Pojo a écrit: Un des trois chefs d'oeuvre de la ligne claire, à mon humble avis...
Les deux autres étant ...?[Révéler] Spoiler:(je parie sur L'Art Moderne pour un des deux)
Alonzo Cabarez a écrit:Aucun problème sur mon eo ; en revanche, j'avais acheté la réédition Casterman classiques (n° d'impression 38444 au dessus de l'ISBN et du code-barres) dans un festival pour la faire dédicacer par Ted Benoit (n'ayant pas pris l'eo avec moi) et en effet, cet exemplaire présente le défaut (décalage ponctuel, heureusement) soulevé par Samdelgado.Samdelgado a écrit:Pas de problème! Il y aurait donc toute le réedition de Casterman qui serait comme ça?Jopo de Pojo a écrit:En fait, c'est moins un hommage à la ligne claire (même si les allusions à Hergé sont évidentes : Ray Banana sur la corniche d'un building, les boites de conserve, et même Tintin qui joue les figurants dans une case...) qu'aux films noirs américains. Un personnage semble d'aileurs inspiré de Joe E. Brown (le milliardaire de "Certains l'aiment chaud"). Et le dernier chapitre est très nourri de "La Mort aux trousses".
Etant peu cinéphile, je ne repère pas les clins d'oeil directs, mais ils doivent être légion. Si certains ont des lumières à ce sujet...
C'est en effet essentiellement un hommage au film noir US. La première référence qui me vient à l'esprit est le chef d'oeuvre "Le port de la drogue" réalisé par Samuel Fuller en 1953 (en raison du rôle majeur tenu par le personnage féminin Moe, joué par l'actrice Thelma Ritter, qu'on trouve d'ailleurs aussi bavarde et sous la même apparence que Moe dans le film de Fuller et sous son nom d'actrice dans l'aventure de Ray Banana !
Rebecca Doppelmeyer a écrit:J'aime beaucoup cet album.
(Et j'ai un attachement particulier pour Hopital, un album qui me semble sous-estimé.)
Samdelgado a écrit:J'ai déjà reçu... Berceuse électrique (Casterman classiques (2002)), et je suis un peu déçu par la qualité de l'impression.
Je voudrais savoir si c'est normal que sur cette édition il y est un problème de décalage sur plusieurs pages entre le trait noir et les gris. C'est spécialement remarquable sur, par exemple, la planche 20 (page 31), dernière case, où l'on voit Ray embrasser une femme. Le décalage est surtout présent en bas des pages.
Jopo de Pojo a écrit:Of course ! (Quel flair !)
Jopo de Pojo a écrit:Avec ses traits énormes au premier plan, dans "Bob Fish" par exemple
Jopo de Pojo a écrit:Deux chefs d'oeuvre, encore.
Chaland et la ligne claire, vieux débat. A mon avis, il n'en est pas du tout. Il pulvérise le premier dogme de la ligne claire, l'épaisseur égale du trait quelque soit le plan. Avec ses traits énormes au premier plan, dans "Bob Fish" par exemple, il est vraiment du côté de Jijé, Will, Tillieux. Même si "La Comète" est moins nerveux, graphiquement.
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