J'ai déménagé fin janvier (avant les événements actuels donc). Nous avions plus de 120 cartons, les 3/4 remplis de livres.
La journée du déménagement a été éreintante. Le soir, à 23h, épuisé, j'avais trop envie de lire une BD pour décompresser un peu. J'ai ouvert le seul carton accessible pour voir ce que le sort allait me réserver: Ric Hochet. Ok.
J'ai pris
La nuit des vampires, un peu au hasard. Je ne sais pas si c'est l'épuisement couplé au réconfort de pouvoir lire une BD au milieu du chaos, mais la lecture a été un moment de grâce. Je n'avais pas le souvenir d'avoir autant apprécié un Ric Hochet avant
Les jours suivant, j'ai enchainé avec les albums suivant (tous dans le même carton, et tous de la grande époque de la série quand-même), et j'ai tout autant apprécié leur lecture.
Comme quoi, parfois, le contexte de lecture influence beaucoup l'appréciation...