nico55 a écrit:Et pour ceux qui aiment la géographie:
http://www.jeux-geographiques.com/jeux/ ... de-france/
superscream a écrit:Tiens il y a un concert chez moi dans l allier, l originalite c est que c est un concert rock sur l histoire je vous donne un lien pour ecouter ce que cela donne
http://www.myspace.com/historockmusic
et en plus c est gratuit il me semble
voili voila
superscream a écrit:l idee est quand meme sympa d expliquer l histoire a traver de la musique si l air est bien cela permet de retenir plus de chose.J imagine tout l histoire de france comme ca alors c est dur dur
LEAUTAUD a écrit:Oui, on pourrait imaginer un choeur à trois voix , la droite, la gauche, les écolos:
A Sarko pour la vie , cochon qui s'en dédie ,
Aubry au pilori bien fol est qui s'y fie !
l'UMPètes c'est connu , bien plus haut que son cul ,
Et leurs bêtises n'arrêtent pas de pisser drues !
La taxe carbone elle est bien bonne pour le prolo
Sur la consommation y va y'aller mollo
Refrain ( les anarchos):
Cours camarade le vieux monde est derrière toi
Avec un peu d'pot Cdmdu restera coi !
In Memoriam a écrit:1812
Par un 26 novembre de l'année 1812,
La Grande Armée franchissait un immense fleuve glacé,
A sa tête se trouvait un général corse
Qui n'avait pu tarir sa soif de dominer.
{Harcelés par le vent, le froid et les cosaques,
Il ne leur restait plus que le courage pour se battre
Refrain :
L'armée de Bonaparte sur la Bérézina
Essuya une défaite dont on se souviendra,
L'armée de Bonaparte sur la Bérézina,
La Grande Armée touchée au coeur jamais ne s'en relèvera.
N'ayant plus d'autre choix que de franchir cette rivière,
La glace sous leur poids engloutit leurs prières,
L'expression des visages de tous ces malheureux
Reflétait l'image de ce calvaire affreux.
Accablés par la faim, la fatigue, la colère,
Ces pauvres fantassins brandissaient leurs bannières.
Refrain
La campagne de Russie annonçait le déclin
D'une armée affaiblie par l'hiver qui survint,
Les canons de l'ennemi achevèrent les survivants,
Qui poussaient des cris effroyables en mourant.
De tous ceux qui partirent guerroyer en Russie,
Beaucoup ne purent revenir, traumatisés à vie.
Jean Ferrat a écrit:La Commune
Il y a cent ans commun commune
Comme un espoir mis en chantier
Ils se levèrent pour la Commune
En écoutant chanter Potier
Il y a cent ans commun commune
Comme une étoile au firmament
Ils faisaient vivre la Commune
En écoutant chanter Clément
C'étaient des ferronniers
Aux enseignes fragiles
C'étaient des menuisiers
Aux cent coups de rabots
Pour défendre Paris
Ils se firent mobiles
C'étaient des forgerons
Devenus des moblots
Il y a cent ans commun commune
Comme artisans et ouvriers
Ils se battaient pour la Commune
En écoutant chanter Potier
Il y a cent ans commun commune
Comme ouvriers et artisans
Ils se battaient pour la Commune
En écoutant chanter Clément
Devenus des soldats
Aux consciences civiles
C'étaient des fédérés
Qui plantaient un drapeau
Disputant l'avenir
Aux pavés de la ville
C'étaient des forgerons
Devenus des héros
Il y a cent ans commun commune
Comme un espoir mis au charnier
Ils voyaient mourir la Commune
Ah ! Laissez-moi chanter Potier
Il y a cent ans commun commune
Comme une étoile au firmament
Ils s'éteignaient pour la Commune
Ecoute bien chanter Clément
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