A propos de Unes calembouresque :
bdmaniak a écrit:
J'aurai tant voulu que cet athlète soit plutôt cycliste :
" Victoire Hugo ! La légende des cycles "
bdmaniak a écrit:
RosbOOm a écrit:Tout est relatif, ça fait 20 ans qu'on n'avait pas été dans le top 10...
28 médailles à Rio, 54 à Tokyo, 75 à Paris, la dynamique est plutôt bonne
noise a écrit:Ah le foot va reprendre ses droits à présent sur les Unes
À la veille de la grande parade des athlètes des Jeux Olympiques et Paralympiques à Paris, Emmanuel Macron a indiqué au Parisien vouloir instaurer tous les ans le 14 septembre une fête nationale du sport, sur le modèle de la Fête de la musique.
« Nous devons nous retrouver autour d'une fête du sport, populaire, qui se déploie dans la rue, les écoles, les complexes sportifs dédiés ; dans nos villes, nos villages, nos quartiers, a déclaré le chef de l'Etat. Je veux qu'un peu partout les Français s'adonnent à leur sport par des démonstrations, des compétitions, avec les jeunes et les moins jeunes. Ce qui permettra de réenclencher pour la rentrée la pratique du sport au quotidien. »
Emmanuel Macron s'est par ailleurs félicité de la décision de la maire de Paris, Anne Hidalgo, de laisser les anneaux des Jeux Olympiques accrochés sur la tour Eiffel, au moins jusqu'au JO de Los Angeles en 2028. « Elle a eu raison », dit-il. Quant à la vasque olympique, le souhait du président est de la garder « le plus longtemps possible, en prenant compte des éléments techniques », a-t-il encore affirmé au Parisien.
ce qu'en disent nos lecteurs
La proposition d'instaurer une fête nationale du sport le 14 septembre par Emmanuel Macron suscite des réactions contrastées, certains saluant l'initiative tandis que d'autres remettent en question son opportunité et son intérêt.
Alors que la question de son avenir lui est inlassablement posée depuis la fin des Jeux Paralympiques, le patron de Paris 2024 a toujours répondu qu'il devait aller au bout de sa mission qui l'emmène jusqu'au printemps 2025. Histoire de faire le bilan, notamment financier, du comité d'organisation, de rendre des comptes ici ou là et de participer à des auditions... Alors que d'aucuns lui prédisaient un destin politique, le triple champion olympique de canoë (C1) avait insisté, sur le plateau de France 2, le 10 septembre dernier : « Il y a d'autres façons de servir son pays, et aujourd'hui je suis plus efficace et utile dans d'autres milieux que la politique ».
Le cabinet du Premier ministre Michel Barnier, nommé cinq jours plutôt à Matignon, a quand même tenté sa chance en proposant au patron de Paris 2024 de prendre la tête du ministère des Sports. Une offre que Tony Estanguet a déclinée. Fidèle à sa volonté, maintes fois répétée, d'aller au bout de l'aventure du comité d'organisation qui ne sera dissous que l'année prochaine.
Et après ? Quand on avait posé la question en août au président de la République, qui a régulièrement rencontré le patron de Paris 2024 en tête à tête depuis 2017, il s'en était sorti par une pirouette sur l'éventualité d'un maroquin ministériel. Mais le chef de l'État nous avait expliqué : « Je pense qu'il a un très grand avenir, j'en parlerai avec lui et je ferai tout pour l'aider pour la suite ». À suivre.
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