nexus4 a écrit:Que le squelette de T-Rex vendu mardi aux enchères près de 5,6 millions d'euros est composé de 3 squelettes différents ! J'ai bien fait de garder mon argent.
Il était en solde ? Un payé, trois emportés ?
nexus4 a écrit:Que le squelette de T-Rex vendu mardi aux enchères près de 5,6 millions d'euros est composé de 3 squelettes différents ! J'ai bien fait de garder mon argent.
camions41 a écrit:nexus4 a écrit:Que le squelette de T-Rex vendu mardi aux enchères près de 5,6 millions d'euros est composé de 3 squelettes différents ! J'ai bien fait de garder mon argent.
Il était en solde ? Un payé, trois emportés ?
nexus4 a écrit:Que je reste émerveillé comme un gamin devant un lancement de fusée.
Même quand ca part en sucette.
Des chercheurs texans ont mis au point un appareil qui permet de lire les pensées d’une personne à distance.
« Nous parvenons à comprendre ce que la personne veut dire, pas exactement ses paroles », expliquait Alexander Huth, chercheur en neurosciences de l’Université du Texas à Austin, lors d’une conférence de presse jeudi dernier.
On est toutefois loin de la télépathie : pour « lire » dans les pensées d’un volontaire, ce dernier doit entraîner le logiciel de M. Huth, dont l’étude a été publiée lundi dans Nature Neurosciences.
Jusqu’à maintenant, les appareils permettant de lire les pensées en laboratoire devaient avoir des électrodes fixées au crâne des cobayes. L’équipe texane a utilisé une mesure de flux sanguin à distance appelée « résonance magnétique fonctionnelle » ou fMRI. Ces données ont été conjuguées à un système de création de langage par intelligence artificielle similaire à ChatGPT.
« Nous avons vu que la pensée utilise des régions du cerveau beaucoup plus vastes que celles qui sont vouées à la parole et à l’ouïe, a dit M. Huth. Il y avait des zones qui servent à l’orientation, aux mathématiques, même au toucher. »
Le premier volet de l’expérience texane consistait à faire entendre au participant et au programme « décodeur » 16 heures d’épisodes d’une émission de la radio publique américaine, The Moth, où des gens racontent des histoires personnelles en détail. Ensuite, le participant réécoutait certaines émissions et le « décodeur » tentait de déduire, à partir des données fMRI, ce qui était dit.
« On a été surpris de l’exactitude, a déclaré M. Huth. Par exemple, si dans The Moth une personne disait ‟je n’avais même pas mon permis de conduire à cette époque”, le décodeur traduisait les données fMRI par ‟il n’avait pas encore appris à conduire”. C’est une assez bonne paraphrase. »
16 heures d’entraînement
Une deuxième itération de l’expérience consistait à reproduire une histoire imaginée par le participant. Et dans une troisième, le participant écoutait une vidéo sans paroles racontant une histoire, et le décodeur devait décrire cette histoire. Le taux de succès a été bon dans ces deux cas également.
Chacune des trois personnes qui ont participé à l’expérience devait entraîner le décodeur séparément. Il ne pouvait pas lire les pensées d’une personne qui ne l’avait pas entraîné au départ avec les 16 heures d’épisodes de The Moth.
Quelle est la prochaine étape ?
« Nous voulons affiner le décodeur, a répondu M. Huth. Mais il nous faut déjà penser aux implications éthiques de notre technologie. Éventuellement, les fMRI vont devenir plus sensibles et pourraient capter des données suffisamment précises à un ou deux mètres de distance, au lieu d’une dizaine de centimètres actuellement. Et il se pourrait que nous parvenions à avoir un décodeur universel qui ne dépendrait pas de la coopération d’une personne pour entraîner l’algorithme. Les applications inappropriées sont nombreuses. »
L’objectif des chercheurs serait plutôt de permettre aux aphasiques et aux paralytiques de communiquer avec le monde extérieur.
nexus4 a écrit:Que Dorothée va faire du doublage pour le prochain Transformers...
Ce monde va trop vite pour moi.
Une équipe internationale de chercheurs a découvert une bactérie capable de consommer des composés métalliques nocifs. De plus, le seul résultat de cette « indigestion » est la formation de minuscules particules d’or. La bactérie, qui est en quelque sorte une experte de la purification des métaux précieux, a été baptisée Cupriavidus metallidurans.
(c')est une bactérie qui prospère dans les sols contenant de l’hydrogène et plusieurs métaux lourds dangereux. Le professeur Dietrich Nies note que « si un organisme décide de rester ici, il doit trouver un moyen de se protéger de ces composés dangereux ».
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