
Le Vent dans les Saules...pleureurs
J’ai rencontré Michel à Amiens en 1999 et il s’était fait un plaisir de me partager son expérience et ses techniques de travail, c’était un régal jusqu’à ce qu’un type derrière moi nous demande d’arrêter de parler parce qu’il attendait pour une dédicace…

J’aime le travail de Michel PLessix, tout en nuances et délicatesse, teinté d’une poésie qui invite au voyage et à la contemplation. Avec sa disparition, c’est une certaine forme de bande dessinée qui doucement s’éteint… généreuse, fourmillant de détails qui demandent du temps de réalisation… ce temps que ni les lecteurs ni les éditeurs n’accorderont demain...