de D H T » 11/09/2011 13:03
On est toujours plus indulgent avec ce qu'on aime (les femmes)... Quand un bonhomme raconte l'histoire d'un bonhomme qui tourne autour de son nombril, il peut s'attendre tôt ou tard à ce que je le démolisse.
Par contre, quand le sujet est une fille, ça change tout. Et puis l'artifice de l'auteure elle-même personnage de fiction est assez habile, puisque le nombrilisme est mis à distance: Souillon, moins larbin qu'il s'en donne l'air.