Silverfab> C'est clair que c'est très difficile de pas se casser la gueule en Fantasy, vu comment le genre a été labourré. Mais je ne perds pas espoir, la preuve avec notre série. Le secret -qui n'engage que moi- c'est de penser l'histoire et les personnages de façon universelle, en marge du genre. Van et Faust auraient très bien pu évoluer dans un univers contemporain, de post apo ou de de science fiction, l'histoire aurait été à peu près la même. Mais voilà, je suis un gros faignant et la fantasy m'évite de devoir dessiner de la technologie, des bagnoles et des vaisseaux spaciaux.
Je suis ravis que la lecture du tome 2 t'ait plu en tout cas !
(et merci pour ta petite chronique sur ton blog !
)
The Maze Echo> L'épaisseur du trait varie selon la pression du stylet, comme sur un feutre ou un pinceau "normal". Ce serait compliqué sinon. C'est pour ça qu'une bonne base en outils traditionnels est nécessaire avant de se lancer dans le numérique, qui n'est au final qu'un gros gain de temps.