[Tendance] Les biographies de peintres en BD

[xof 24]

Message précédent :
Question con Est ce que toute les fiches séries de ces albums ont été estampillées du mot clef Peintre voir peinture oeuvre biographie etc
Est ce que des liens entre les albums ont été créé

J'écris vite fait via mon téléphone donc pas évident de vérifier mais si la réponse est négative serait pas mal de proposer ces mots clefs Non

[rahoul]

( Plus un hommage appuyé qu'une bio. )

[Mr Degryse]

Coup de coeur graphique. Un boulot de dingue ! De superbes couleurs aussi.
Le scénario m' a moins plu car trop onirique pour moi mais cela permet au moins de sortir de l'aspect purement biographique

5/5 pour le dessin

3/5 pour le scénar

[nexus4]

Pour la rentrée à priori :

[Le Tapir]

Pour la rentrée à priori :

Belle couverture et titre marrant pour indiquer qu'il s'agit d'une bio!

[nexus4]

La fiche album :



et la nouveauté, Marcel Duchamps



qui avait déjà été traité en bd :

[nexus4]

Et à venir, un Klimt.

[Olaf Le Bou]

cette année il y a également eu :

[toine74]

C'est bien cette collection Les grands peintres ? Il y a un Renoir par Dodo et Ben Radis (deux auteurs que j'apprécie particulièrement), je me demande juste si ça ne sent pas trop le travail alimentaire...

[Nirm]

Tiens je l'ai je crois.
Je me rappelle le Guérirault que j'ai trouvé sympa mais pas de souvenir de celui ci.

[nexus4]

Et un Mondrian qui a l'air sympa qui arrive.

[Olaf Le Bou]

C'est bien cette collection Les grands peintres ? Il y a un Renoir par Dodo et Ben Radis (deux auteurs que j'apprécie particulièrement), je me demande juste si ça ne sent pas trop le travail alimentaire...

échaudé par mes précédentes tentatives sur les collections "les machins-trucs en BD", j'ai totalement zappé cette série sur les grands peintres (alors que les beaux-arts sont ma passion n°1) par peur de didactisme excessif, de travail de commande solide mais sans saveur, et par haine du formatage 46CCesque dans lequel ont fait rentrer aux forceps des sujets méritant un long développement.

[toine74]

Ça me fait ça aussi, d'où mon interrogation .

[nexus4]

Alors le titre de la collection est trompeur, elle ne devrait pas s’appeler "Les grands peintres" mais "Les tableaux célèbres". En effet, pour ceux que j'ai lus, le récit se concentre sur le contexte de la création d'un tableau célèbre. On est sur 2 ans à tout casser par peintre. Je crois que c'est aussi une des raisons qui font que Klimt, Manet et Caillebotte ne sont pas dans cette collection puisque l'approche est différente, plus biographique.

Après l'aspect collection renforce l’intérêt du bazar, en avoir un ou deux n'a pas trop de sens à mon avis. Sauf auteur qu'on aime bien. Le challenge pour les auteurs est aussi de trouver un axe qui graphique pour se confronter à leur sujet. Le Van Gogh est bien sympa, alors que le Vinci est catastrophique. On ne peut pas, on ne doit pas dirais-je, parler de Vinci avec ce graphisme là. Ca ne tient pas le choc. C'est pour ca que j'ai refusé la preview pour en faire un concours. De la BD passe partout pour vendre à n'importe qui, au plus grand nombre.

Enfin, on ne sait absolument pas quelles sont les cautions historiques. La part de documentation et la part de fiction ne sont pas franchement identifiées (au contraire des grandes batailles navales).

[toine74]

Ça fait envie raconté comme ça.

Renoir va attendre que je le croise en occas' malgré Dodo et Ben Radis.

[nexus4]

Je parlais du Vinci surtout, y en a d'autres sympa. Mais là, non, on ne peut pas parler de la Joconde comme ça :



J'ai dit à l'éditeur "Qd on n'est pas au niveau, il faut faire autre chose". Il a trouvé ça un peu violent parcequ'il pensait que je disait que l'auteur devait changer de métier, alors que je causais du choix graphique.

Je crois que les éditeurs sont un peu hallucinés qd ils causent avec moi.

[Nirm]

Alors le titre de la collection est trompeur, elle ne devrait pas s’appeler "Les grands peintres" mais "Les tableaux célèbres". En effet, pour ceux que j'ai lus, le récit se concentre sur le contexte de la création d'un tableau célèbre. On est sur 2 ans à tout casser par peintre. Je crois que c'est aussi une des raisons qui font que Klimt, Manet et Caillebotte ne sont pas dans cette collection puisque l'approche est différente, plus biographique.

C'est tout à fait ça.
Le Géricault est parfaitement dans ce schéma.

[Nirm]

Prévu le 4/11, Tamara de Lempicka par Virginie Grenier et Daphné Collignon, chez Glénat :

Paris, les années 1920. Proche de Gide ou Cocteau, la peintre Tamara de Lempicka est l’une des artistes les plus en vue de la capitale. Artiste sulfureuse, libertaire et ouvertement bisexuelle, elle passe ses soirées à s’encanailler dans les célèbres cabarets des années folles, en quête d’inspiration, d’acheteurs, de modèles ou d’amours d’un soir. Ces nuits d’excès lui valent de fréquentes disputes avec son mari Tadeusz qui lui reproche de ne pas s’occuper de leur fille Kizette. Mais Tamara entend bien faire comme elle le désire, d’autant que c’est l’argent de ses tableaux qui fait vivre sa famille. Ainsi sont les femmes libres !

Après le remarqué Avant l’heure du tigre, roman graphique sur la femme d’André Malraux, Virginie Greiner et Daphné Collignon dresse le nouveau portrait d’une femme moderne, forte et indépendante : Tamara de Lempicka. Une évocation élégante et sensuelle de la vie de cette figure de proue de l’Art déco.

Quelques pages sur le site éditeur.

[nexus4]

Et hop, Paul Nash par Dave McKean, la preview :



Il a peint l’horreur pour s’en défaire

Peintre surréaliste de la première moitié du XXe siècle, Paul Nash a vécu l’atrocité des tranchées de la Première guerre mondiale. Les cicatrices de cette épreuve ont marqué son œuvre à tout jamais.

Auteur de bande dessinée, Dave McKean décide de lui rendre hommage à travers cette biographie fantasmée. Entre réalité et illusion, il explore la fièvre créatrice de l’artiste en se projetant dans ses rêves, hantés par l’image perpétuelle d’un chien noir. Ni malveillant, ni bénin, ce spectre agit comme un présage, un messager, un ennemi... puis un ami.

Grâce à la puissance d’évocation de son dessin, McKean parvient à transmettre, à l’image de l’œuvre du peintre qu’il raconte, les effets dévastateurs et les traumatismes profonds légués par la guerre. Il nous offre une plongée cathartique dans les replis de l’âme déchirante d’un artiste déchiré.

Conçue à l’origine comme un projet multimédia en lien avec les commémoration de la Grande Guerre, cette œuvre majeure est indispensable dans la (re)lecture actuelle des évènements de 14/18.

[Olaf Le Bou]

un autre biographie, Modigliani vu au travers de sa compagne (et modèle) Jeanne Hébuterne :




graphiquement très réussi, je n'ai pas assez de recul pour juger de la pertinence historique, mais le chapitre que j'ai lu m'a paru un poil didactique et démonstratif, avec des dialogues manquant de naturels.

si quelqu'un a un avis plus étayé pour éclairer nos lanternes...?

[nexus4]

LA PREVIEW DU KLIMT :



Vienne, 1907. Gustav Klimt se rend dans la demeure des Bloch-Bauer. Ce couple de la haute-bourgeoisie viennoise et le peintre semblent partager une profonde amitié. Il faut dire que six ans plus tôt, alors que le scandale de son tableau La Médecine lui mettait à dos les trois-quarts des professeurs de l’université de Vienne, Adèle et Ferdinand Bloch-Bauer étaient parmi les seuls à reconnaître son génie. Visitant son atelier, partageant son quotidien, ils étaient peu à peu devenus amis. Aujourd’hui, Ferdinand lui demande l’honneur de réaliser un portrait de sa femme. Flatté et reconnaissant, Klimt promet de la recouvrir d’or... littéralement.