Haaa, Koblenz
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Je voulais juste intervenir pour préciser un point.
La majeure partie du livre n'est pas remise en cause, historiquement. Les témoignages abondent. Une importante documentation est disponible, dans laquelle nous sommes aller puiser.
Mais je lis des critiques qui tiquent sur l'introduction: le concert et son (ré)enregistrement.
Or, là ici aussi, tout est exact, dans les moindres détails, jusqu'au texte de la lettre que la pianiste fait parvenir à Staline.
Nous avons même enlevé des détails pour plus de crédibilité.
Cette pianiste, Maria Ioudina, a d'ailleurs eu un parcours extraordinaire. Totalement rebelle au régime, elle a échappé à la prison et aux camps, mais au prix de sa carrière.
Elle mériterait à elle seule, un livre entier.