Ben voilà, il n'y a que des gens qui se comprennent ici ! Et pas un seul "C'est nul !!! Et t'es nul d'aimer ça !!!"
c'est parce que le patricien doit être en vacances
Ben voilà, il n'y a que des gens qui se comprennent ici ! Et pas un seul "C'est nul !!! Et t'es nul d'aimer ça !!!"
c'est parce que le patricien doit être en vacances
juste une question c'est de l'héroic fantasy à la lanfeust de troy, la geste????
Soleil fait des séries à rallonge avec les auteurs de départ la plupart du temps.
Delcourt aime bien jouer avec des sagas assez longues par des auteurs différents ou autres trucs du genre (ex : la série "Sept")
Deux stratégies commerciales un peu différentes mais avec la même finalité.
euh ?
Des exemples contraires il y en a des tas quant même
La Geste pour commencer dont les différents tomes n'ont souvent que le scénariste en commun.
Pour Declourt faut pas généraliser 7 comme cela
C'est plutôt nouveau comme concept chez eux il me semble
juste une question c'est de l'héroic fantasy à la lanfeust de troy, la geste????
Juste, t'as raison ! A mon avis, il est partit en amoureux avec Scalp !!!
je suis pas fan du gravier pour ma part :siffle:
C'est vrai qu'il ne s'agit pas d'une série "à surprise" scenaristiques mais bien plus d'une ambiance. Peut-être d'ailleurs que cette impression du "déjà vu" (enfin, plus qu'une impression!) pour les tomes suivants a là son explication:
Combien des dénouements possibles dans ce monde avec deux options:
soit le dragon est là et le veil continue à changer tout le monde en monstres et du coup c'est l'horreur irrecupérable,
soit il est tué par les chevaliers dragons avec des sacrifices (puisque bien qu'elles peuvent l'approcher et qu'elles sont entraînées elles restent bien faibles face à la force et taille du dragon) et tout redevient normal jusqu'au prochain dragon.
C'est vrai que au fur et à mesure des tomes on prend les mêmes et on recommence mais dans ce monde décrit dans cette série, c'est exactement pareil... tout est normal jusqu'à l'apparition d'un dragon et, apparement, les hommes n'apprennent pas de leurs erreurs malgré que l'expérience et histoire sont vehiculées par les chevaliers qui sont elles, la mémoire du passé.
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