Pour la dédicace, oui, je la trouve superbe aussi.
Pour le jeu des "références", on peut ajouter le repaire des "infidèles" qui fait fortement penser à la cité de Zion dans les deux derniers volets de
Matrix. Mais je ne pensais moins à des titres précis qu'à des choses qu'on a, justement, l'impression de recroiser... souvent. Par exemple, la ville close sur elle-même, généralement au milieu d'un monde plus ou moins post-apocalyptique, est un espace qu'on retrouve assez fréquemment dans les mangas et les animés japonais. Le côté "univers totalitaire" avec une surorganisation et une surveillance permanente de la vie des habitants dans le moindre aspect renvoie aussi aux classiques de la littérature "dystopique" du XXe s. (Zamiatine, Huxley, Orwell...). Etc.
Attention, on est bien d'accord que ça ne veut pas dire que c'est forcément mauvais, simplement l'enjeu, pour cette BD comme pour les autres, est d'arriver à faire quelque chose d'original à partir de ces bases-là.